Meilleur hébergeur web 2024 : notre comparatif complet des offres

Si vous souhaitez mettre en ligne votre site web, rien de tel que de faire appel à un service spécialisé. Pour cela, les hébergeurs vous proposent en effet tout le nécessaire : nom de domaine, gros espace, base de données et outils de création tout-en-un.

Sommaire

Vous souhaitez vous lancer dans l’aventure et ouvrir un site ? Que vous ayez d’excellentes notions en programmation web ou, au contraire, que le sujet ne vous passionne pas du tout, il est parfaitement possible de créer un site original à moindres frais, qui attire des centaines de visiteurs chaque jour. Néanmoins, il vous faudra posséder un petit espace sur le web, afin d’accueillir votre site, blog, forum, etc. Pour cela, rien de tel que de faire appel à un hébergeur spécialisé.

salle serveur

Notre Top 3 des hébergeurs

🏅 Hostinger, parfait pour débuter

Nul doute que Hostinger, qui propose une offre gratuite tout en proposant 2 bases de données et la création d’un nom de domaine est extrêmement alléchant. Évidemment, votre nom de domaine sera « flanqué d’une extension bizarre » (zz.mu, vv.si, besaba.com…) et vous ne disposerez que de 2 Go d’espace pour stocker votre site web. En revanche, c’est parfait pour commencer, et pour un service gratuit, Hostinger s’en tire très bien puisqu’il n’ajoute aucune publicité sur vos pages.

🏅 Ionos, la qualité à bon prix

Si vous souhaitez un espace un peu plus « pro », tournez-vous du côté de Ionos. Ses tarifs très agressifs, lui permettent d’être très compétitif, sans sacrifier à la qualité.

🏅 OVH, parfait pour les vrais pro

Enfin, si vous souhaitez profiter d’un espace conséquent et d’un bon niveau de disponibilité-réactivité de votre site, rendez-vous chez OVH. Là encore, la qualité de disponibilité d’un personnel et la mise en place d’outils facilitant la création de pages web en font un incontournable du web.

Un hébergeur, à quoi ça sert ?

On peut se demander légitimement pourquoi opter pour un tel service, alors que n’importe quel FAI propose lui aussi un espace de création de pages web. À quoi cela sert-il de s’abonner à un service généralement payant, alors qu’il est si simple de stocker son site sur SFR, Orange ou Free, qui offrent tous un espace dédié à la réalisation de pages à leurs abonnées ? Sans compter Google, qui propose dorénavant d’héberger des pages à tout un chacun, à condition d’avoir simplement ouvert un compte gratuit ? Et que dire de ces services que sont Tumblr ou Flickr, qui offrent, chacun à sa manière, un espace aux internautes pour qu’ils s’expriment, postent des photos… Bref de créer un blog, voire un mini-site ?

Un espace plus conséquent et un nom de domaine pour tous

Toutes les solutions que nous venons d’évoquer sont pourtant très différentes de ce que permet habituellement un service d’hébergement spécialisé. Il existe de nombreux avantages à ce genre de plate-forme. La taille de l’espace alloué tout d’abord, qui s’étend de 1 à 30 Go en fonction du service (voire davantage, mais le prix n’est pas le même). La réactivité du site ensuite, qui est bien meilleure et permet d’afficher des pages web plus rapidement. Le nom de domaine également, qui est généralement compris dans le prix. Mais aussi et surtout, les nombreux outils de programmation liés à la création d’un site web original. Tous les services abordés dans ce dossier offrent en effet l’accès à au moins une base de données MySQL. Couplée au langage PHP, celle-ci vous permet de composer des pages web dynamiques, de gérer des actualités régulièrement, d’offrir aux internautes un moteur de recherche sur votre site ou même de vendre des produits et de contrôler votre stock. En outre, libre à vous d’inclure ou non sur votre site des encarts publicitaires et de générer ainsi des revenus, de telle sorte que le coût d’hébergement du site soit vite amorti.

Le serveur dédié : idéal pour les entreprises

Dans le monde des hébergeurs spécialisés, il existe différents types de service. Le premier, et le plus répandu pour les très grosses plates-formes, consiste à utiliser un serveur dédié (avec un système de redondance), lequel ne stocke qu’un unique site web. Dans ce cas, la réactivité du site est parfaite ou presque, chaque page se chargeant immédiatement pour le visiteur. Ce genre de solution est certes idéal, mais il est également assez cher : les prix varient d’une dizaine à plusieurs centaines d’euros par mois, en fonction du processeur du serveur, de sa RAM, de sa capacité de stockage, de ses capacités de duplication, etc. Bref, ce genre de serveur n’est pas à la portée de tous et se destine surtout aux grosses entreprises.

Le serveur mutualisé : pour les particuliers ou les associations

En revanche, il existe un moyen beaucoup moins onéreux de se faire héberger son site : le serveur mutualisé. C’est ce qui va nous intéresser ici. Il possède grosso modo les mêmes caractéristiques techniques que le serveur dédié, à une différence près : plusieurs sites y sont stockés, au lieu d’un seul. Du coup, vous partagez la bande passante, le processeur, la RAM et les accès disques avec d’autres sites. L’inconvénient, c’est que la réactivité du serveur mutualisé est moindre par rapport à celle du serveur dédié. L’avantage, c’est que ses prix sont divisés par 5, au bas mot. Il faut en effet compter entre 2 et 5 euros par mois pour en profiter. Et certains, comme nous allons le voir, sont même gratuits…

Espace de stockage et trafic : sur le web, la taille ça compte ?

Avant d’opter pour tel service d’hébergement plutôt que tel autre, posez-vous la question : de quel espace de stockage avez-vous réellement besoin ? Toutes les solutions que nous avons testées proposent au moins 500 Mo ou 1 Go pour stocker des fichiers, comme sur c’est le cas respectivement chez Amen et OVH. Cet espace peut atteindre 2 Go (Hostinger dans sa version gratuite), voire beaucoup plus : Nuxit offre 50 Go d’espace, quand Ionos et LWS proposent jusqu’à 100 Go. Mais aurez-vous réellement besoin d’une telle taille ?

Entre 5 et 10 Go si vous avez beaucoup de photos

Dans la plupart des cas, un tel espace n’est pas nécessaire, sauf si vous comptez héberger des dizaines de séquences encodées en HD ou des fichiers ISO complets. En revanche, vous aurez peut-être besoin d’un volume confortable si vous souhaitez héberger beaucoup de photos (site d’actu ou d’information généraliste, e-commerce, etc.). Pensez qu’il faudra peut-être enregistrer les images dans différentes tailles, ne serait-ce que pour proposer des aperçus de chacune de vos photos. Et cela peut aller très vite, et au final, entre 5 et 10 Go sont alors indispensables.

Les bases de données ne sont pas si gourmandes

Tous les hébergeurs restreignent la taille de la base de données à quelques centaines de Mo, à l’exception de Hostinger, qui offrent un espace illimité. En réalité, cela n’est pas vraiment contraignant : aussi complexe soit-elle, une base de données MySQL n’est composée que de texte. Aucune image, ni aucune vidéo, n’y sont heureusement stockées. En clair, une base se révèle généralement peu gourmande en Mo au lancement du site. Un espace de 100 Mo est amplement suffisant pour tenir quelques années. En revanche, les 20 Mo proposés par l’hébergeur Planet-Work sont un peu justes, sauf si vous souhaitez ouvrir un simple petit blog.

Quel type de site voulez-vous créer, au juste ?

Autre cas : celui d’un forum. A titre indicatif, nous disposons d’un forum dédié au retrogaming qui, au terme de 15 années d’existence, nécessite 500 Mo de base de données (hors pièces jointes, qui utilisent quant à elles plus de 4 Go d’espace). Si vous souhaitez ouvrir un tel site, optez plutôt pour les hébergeurs Ionos ou LWS, qui offrent 1 Go pour le stockage de la base uniquement. Vous serez tranquille. Même chose pour un site d’e-commerce. Enfin, rappelez-vous que presque toutes les offres d’hébergement que nous avons testées ne permettent pas de créer plus d’une seule base de données. Si vous souhaitez héberger plusieurs sites et un ou différents forums sur le même espace, il vous faudra soit vous tourner du côté de Hostinger (gratuit) ou de Namebay (2,39 €/mois), soit opter pour les offres supérieures à celles que nous avons testées (comptez au moins 5 € / mois).

Attention à l’ interface d’administration

Un hébergeur se caractérise, en dehors de la taille et de ses prix, par les nombreuses fonctionnalités qu’il propose. Et à ce petit jeu, tous ne sont pas logés à la même enseigne. L’interface d’administration est le nerf de la guerre : elle permet de contrôler les droits d’accès de votre espace et du FTP, d’ajouter des adresses email,  de vérifier l’espace disponible, etc. C’est grâce à elle aussi que vous déploierez votre site à l’aide d’un CMS, ce qui vous évitera de passer par une configuration manuelle. Bref, difficile de se passer de cet outil qu’est l’interface d’administration. La plupart d’entre elles sont assez sobres, comme celles des hébergeurs Amen, OVH ou Ionos qui sont plutôt bien présentées, même si on se rend vite compte qu’elles sont extrêmement riches et regorgent d’options bien cachées. Le simple fait de paramétrer un compte FTP par exemple n’est pas toujours une partie de plaisir…

Image 1 : Meilleur hébergeur web 2024 : notre comparatif complet des offres

L’accès au FTP est limité partout, sauf chez Hostinger

L’accès au FTP est un élément très important si vous souhaitez travailler à plusieurs sur un site, ou tout simplement si vous voulez ouvrir un petit espace sur lesquels vos visiteurs les plus fidèles peuvent déposer des fichiers (très utile pour un forum par exemple, sur lequel vous n’avez pas forcément autorisé les pièces jointes). Cet accès est généralement limité à un seul compte dans les offres que nous avons testées, à l’exception de celle d’Hostinger dans sa version payante, qui ne restreint pas le nombre d’internautes qui peuvent s’y connecter. Une très bonne initiative.
Autre point, plus anecdotique, mais peut-être plus agaçant : l’identifiant. Sur Ionos par exemple, les coordonnées de l’accès au FTP sont immédiatement attribuées dès l’ouverture du compte. Il est possible de changer le mot de passe et le répertoire d’accès, mais pas celui de l’utilisateur. Le problème, c’est que ce nom d’utilisateur ne correspond pas à grand-chose (on aurait apprécié par exemple qu’il soit associé au nom de domaine ou à un pseudonyme). En conséquence, à moins d’avoir une excellente mémoire, difficile de se connecter au FTP lorsque l’on est sur un autre poste que celui que l’on utilise habituellement et que l’on n’a oublié la série de chiffres et de lettres correspondant à l’identifiant.

Une messagerie dont vous êtes seul maître à bord

Là encore, un accès à différents comptes mails peut être un atout pour réussir votre site. La quasi-totalité des hébergeurs vous propose à la fois un accès à vos messages via un webmail et via votre client de messagerie classique. Le nombre d’adresses mails gérés varie de 2 (dans le cas d’OVH) à une centaine (Ionos), et peut même être totalement illimité, comme c’est le cas avec Hostinger.
Chaque compte de messagerie permet d’héberger entre 1 et 2 Go de données, un espace qui est totalement indépendant de celui nécessaire à l’hébergement de votre site. Notez en revanche qu’un mail ne doit pas dépasser une centaine de Mo. Enfin, la mise en place d’adresses mails est généralement très simple, quel que soit le service d’hébergement auquel on souscrit. Sur OVH et Ionos, on dispose même de services antispam et d’une protection antivirale pour les pièces jointes, deux options que l’on peut activer ou désactiver à loisir.

Tout pour faciliter l’ouverture d’un site

La plupart des services d’hébergement que nous avons testés offrent des outils préinstallés, qui permettent d’ouvrir un site en quelques minutes à peine, sans avoir à coder la moindre ligne. On distingue en fait deux cas : les CMS « classiques », qui permettent de mettre en place un site et de profiter ensuite d’un large éventail de modules et d’une communauté très active. Lorsque vous vous abonnez à une offre d’hébergement, il n’y a en effet plus qu’à cliquer pour installer Joomla, Drupal, etc. Dès la commande, nuxit vous invite par exemple à choisir un CMS à installer automatiquement : Joomla, WordPress, Prestashop, Piwigo, Phpbb, Spip ou Guppy (et il est bien entendu possible de ne rien installer du tout). Vous n’avez même pas à uploader quoi que ce soit sur votre FTP, l’hébergeur le fait pour vous.

Des outils dédiés à ceux qui ne veulent pas programmer

Mais il existe aussi un autre type d’outil de plus en plus répandu : le module de création de site fait par le site d’hébergement lui-même. On y bénéficie à la fois de tout le nécessaire pour ouvrir instantanément un site (pas de lignes de code à entrer), mais également une ribambelle de modèles. Tout s’y fait à l’aide de simples glisser-déposer, certains fournisseurs vous proposant même de remplir les cadres de texte à votre place. En clair, un site peut être réalisé et personnalisé de A à Z en quelques minutes. En revanche, les hébergeurs vous font payer des services supplémentaires, ne serait-ce que l’ajout de pages sur votre site.

De manière concise, vous disposez d’une dizaine de pages gratuites pour votre site. Mais comme il y a fort à parier que votre espace nécessite davantage de pages, vous devrez par exemple débourser entre 3 et 5 euros / mois pour créer un nombre illimité de pages. Encore plus rédhibitoire : chez Amen par exemple, l’outil WebSite, qui dispose pourtant de 300 modèles, n’autorise la création que d’une seule page. Il faut se tourner du côté de l’édition Starter pour profiter d’un outil plus complet, lequel est commercialisé à 104,05 € / an.

Mieux référencer son site, en voilà une bonne idée

Enfin, lorsque vous souhaitez ouvrir un site, pensez également à l’avenir : son bon référencement est un atout majeur dans sa réussite. Là encore, vous n’avez rien à faire, l’hébergeur se charge de l’inscription de votre site sur Google et de faire en sorte qu’il soit davantage mis en avant lorsqu’un internaute lance une requête. Mais ce genre de service est indéniablement payant (vous bénéficiez parfois d’un mois gratuit). nuxit intègre par exemple des « packs » qui permettent de booster le trafic d’un site en améliorant son référencement sur Google. Trois modèles sont disponibles : le pack Referencement Silver (14,21 € / an), le pack Referencement Gold (28,56 € / an) et le pack Referencement Platinum (42,91 € / an). Faites bien attention, car chez certains hébergeurs, comme Ionos, l’outil de référencement « pro » est nettement plus onéreux (143,40 € / an).

Une bonne assistance en cas de problème, ça existe

Lorsque l’on ouvre un site et que l’on n’y connait pas grand-chose, il est très appréciable de pouvoir trouver une réponse très rapidement en cas de difficulté. Certes, parmi les différentes solutions que nous avons testées ici, vous ne profiterez pas d’une assistance téléphonique pouvant répondre à des questions techniques. En revanche, bon point : chez la plupart des hébergeurs (OVH, Ionos, Amen, etc.), on dispose d’une assistance par mail et/ou par forum interposé. Le temps de réactivité y est plutôt bon : la question est traitée dans le pire des cas au bout de 48 heures et dans le meilleur en moins d’une heure. Pensez néanmoins à poster vos questions la journée plutôt que la nuit si vous souhaitez obtenir rapidement une réponse.

Une sauvegarde encore rare, mais vraiment précieuse

En dehors des questions que vous vous posez et qui trouvent bien souvent leur réponse dans la FAQ ou sur le forum dédié de l’hébergeur, vous pouvez aussi avoir de bien plus gros soucis. Exemple critique : vous avez effacé certains fichiers du site en ligne et avez oublié d’en faire une sauvegarde en local. Fort heureusement, les services d’hébergement offrent généralement un outil de restauration, qui permet de récupérer tout ou partie d’un site supprimé. Cette option était jusqu’à présent réservée aux serveurs dédiés, mais pas aux serveurs mutualisés. Elle tend néanmoins à faire son apparition sur ces derniers, comme c’est le cas chez Ionos, qui ne facture pas ce service et permet de revenir à l’état d’un site tel qu’il était il y a 1, 2, 3, 4, 5 ou 6 jours.

Faut-il nécessairement se tourner vers des versions pro ?

Quelles différences peut-on espérer d’une solution à 2 ou 3 euros par mois, face à des offres à plus d’une dizaine d’euros ? Si vous optez pour une telle offre, vous disposez d’un espace de stockage beaucoup plus conséquent, voire illimité. Même chose pour le nombre de comptes emails, les accès FTP depuis plusieurs utilisateurs en même temps, le nombre de bases de données, les pages créées via les outils d’automatisation, etc.
Mais surtout, vous disposez généralement d’un service de redondance performant, qui permet à la fois de récupérer toute modification effectuée sur le site à plusieurs semaines d’intervalle. Et dans ce cas, vous pouvez retrouver non seulement les fichiers de code qui constituent votre site, mais également sa base de données. Si vous souhaitez monter un site un peu professionnel, comme une petite boutique en ligne, ce genre de pack est à prendre en considération.

Une question de tarifs et de langages de programmation

Vous l’avez probablement constaté si vous avez d’ores et déjà tenté de commander un abonnement à un hébergeur : il existe d’une part un service fonctionnant sous Windows, et de l’autre un service sous Linux. Et il est conseillé de ne pas se tromper, car impossible de basculer de l’un à l’autre en cours de route (chaque abonnement est généralement valable pour un an et reconduit tacitement). On pourrait croire qu’il convient d’attribuer un abonnement Windows à ceux qui disposent de cet OS sur leur PC, et de réserver l’abonnement Linux à ceux qui utilisent ce dernier chez eux. Non, ce n’est pas si simple ! En réalité, l’abonnement Linux convient le mieux dans la majorité des cas. Mais alors, quelle différence entre les deux ?

Linux ou Windows ? Le choix est rapidement fait

Au niveau matériel, les serveurs qui hébergent votre site ne présentent aucune différence, qu’ils fonctionnent sous Windows ou sous Linux. En revanche, comme l’offre le laisse supposer, c’est au niveau de l’OS que tout se joue. Dans les deux cas, vous pourrez y installer un site écrit en PHP, qu’il s’agisse d’un blog, d’un magasin en ligne, d’un forum ou d’un portail d’actualités. Dans les deux cas, vous aurez tout loisir d’intégrer du JavaScript ou d’autres langages, d’administrer votre base en ligne à l’aide de PHPMyAdmin, etc. Bref, vous ne verrez pas beaucoup de différence. En revanche, si vous souhaitez coder un site à l’aide d’ASP.NET, cette technologie de programmation web propre à Microsoft, il vous faudra recourir à un serveur Windows. En effet, même s’il est théoriquement possible de supporter ASP.NET sur un serveur Linux à l’aide de l’extension Mono, rares sont ceux qui le font réellement, surtout dans leurs offres bon marché.
Mais en définitive, à l’exception du cas précité, il est pleinement conseillé d’opter pour une plate-forme Linux, parfois moins chère que son homologue sous Windows (parfois une dizaine d’euros en moins sur la facture à l’année).

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