Les 20 meilleurs films d’horreur pour trembler d’effroi devant l’écran

C’est un genre cinématographique qui divise. Lorsqu’il s’agit de choisir un contenu à visionner, les adeptes d’épouvante proposent fréquemment de lancer un bon film d’horreur. Sauf qu’ils risquent de se heurter à une fin de non-recevoir, leurs proches ayant trop les chocottes pour s’y frotter. Et on peut les comprendre. Il faut parfois avoir le cœur bien accroché pour supporter les horreurs qui se développent à l’écran.

Tous les films d’horreur ne tirent d’ailleurs pas les même ficelles pour faire trembler les téléspectateurs. Certains films sont purement psychologiques. Des cinéastes vont notamment installer progressivement une atmosphère pesante, l’entité maléfique ou la source du mal étant suggérées (sans être dévoilées) pendant la majeure partie du film. Certains réalisateurs et scénaristes misent plutôt sur les apparitions impromptues de personnages horrifiques ou de bruits sourds – les fameux screamers calibrés pour faire sursauter le public.

D’autres films ne sont pas avares en scènes gores, gorgées d’hémoglobine et de tueries atroces. On peut également citer le Found footage où l’horreur surgit sous l’objectif de caméras amateur maniées par des témoins de phénomènes paranormaux. Mais aussi le slasher où les victimes sont poursuivies sans relâche par un tueur impitoyable. De leur côté, les films d’horreur fantastiques mettent en scène des vampires, monstres, zombies et autres créatures maléfiques. Vous l’aurez compris, il existe de multiples nuances d’horreur et celles-ci peuvent d’ailleurs s’entremêler dans le même film. Ces précisions étant faites, voici notre sélection horrifique !

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Get Out (2017)

• Réalisateur : Jordan Peele
• Acteurs : Daniel Kaluuya, Allison Williams, Catherine Keener, Bradley Whitford
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• Le pitch : Ne passez surtout pas à côté de ce chef-d’œuvre sublimé par la performance de haute-volée de Daniel Kaluuya dans le rôle principal. Celui-ci incarne Chris, un photographe noir qui passe un week-end chez la famille de sa petite amie, Rose. Sauf qu’au fil du séjour, d’étranges évènements vont lui mettre la puce à l’oreille alors qu’un piège ignoble se referme sur lui. Un cauchemar qui se matérialise progressivement, la paranoïa de Chris s’exacerbant à chaque rencontre avec un personnage noir dont le cerveau semble littéralement lobotomisé. Tension et angoisse sont savamment dosées dans ce long-métrage, satire efficace du racisme et des abus de la classe dominante, qui vous tiendra en haleine sans discontinuer.

The Thing (1982)

• Réalisateur : John Carpenter
• Acteurs : Kurt Russell, Wilford Brimley, Keith David, David Clennon
• Le pitch : Il est bien difficile de trouver plus anxiogène que l’intrigue de The Thing. Une station de recherche perdue au milieu de l’Antarctique, coupée du reste du monde, se fait infiltrer par une forme de vie extraterrestre capable de prendre l’apparence de n’importe quel être vivant, après l’avoir tué. R.J. MacReady, incarné par Kurt Russel, tente d’enquêter sur le monstre. Mais la psychose s’installe rapidement entre les différents membres de la station, rendant d’autant plus difficile sa quête. Il s’agit de l’adaptation la plus fidèle du livre « La bête d’un autre monde » de John Campbell, qui a su acquérir le statut de film culte. Un véritable immanquable, qui ne souffre pas de son âge et qui réserve de beaux sursauts à qui osera le regarder fenêtre fermée et lumières éteintes.

28 jours plus tard (2002)

• Réalisateur : Danny Boyle
• Acteurs : Cillian Murphy, Naomie Harris, Brendan Gleeson, Christopher Eccleston
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• Le pitch : Dans 28 jours plus tard, il n’est pas vraiment question de zombies, mais plutôt d’infectés. Rapides et puissants, ils sont d’autant plus impressionnants que la propagation du virus, libéré par erreur après des expérimentations d’un dérivé de la rage sur des singes, est rapide. Face à eux, l’instinct de survie sera le seul avantage de Jim, un rare rescapé qui se réveille d’un coma 28 jours après le début de l’infection. L’espoir est difficile à trouver, si bien que les nerfs du spectateur sont mis à rude épreuve tout au long de l’intrigue.

Midsommar (2019)

• Réalisateur : Ari Aster
• Acteurs : Florence Pugh, Jack Reynor William, Jackson Harper, Will Poulter
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• Le pitch :  Une secte suédoise, des champignons hallucinogènes, des rituels malsains et une bonne dose de sauvagerie. Tel est le cocktail explosif confectionné par Ari Aster (Hérédité), jeune maître de l’horreur qui parvient à nouveau à nous glacer le sang avec Midsommar. Foudroyé par le suicide de sa sœur qui a provoqué la mort de ses parents, Dani se retrouve au plein cœur du festival de Midsommar. À fleur de peau, elle y accompagne son petit ami Christian ainsi que d’autres néophytes curieux. Les festivités, qui ont lieu qu’une fois tous les 90 ans, battent leur plein dans l’énigmatique village de Harga. Une communauté aux coutumes très particulières où la tradition veut que les plus de 72 ans se laissent tomber d’une falaise, en guise de sacrifice. Un avant-goût de l’horreur qui se profile pour les visiteurs…

La Cabane dans les Bois (2012)

• Réalisateur : Drew Goddard
• Acteurs : Kristen Connolly, Chris Hemsworth, Bradley Whitford, Sigourney Weaver
• Le pitch : Quand la télé-réalité s’invite à la table du film d’horreur. Co-écrit par Joss Whedon, le papa de Buffy et des Avengers, La Cabane dans les Bois est un excellent film qui déconstruit méthodiquement le genre du slasher bête et méchant. Si l’intrigue semble très classique de prime abord avec un groupe d’adolescents partant en week-end dans la forêt, elle devient de plus en plus surprenante, tout en continuant à donner la chair de poule. Les personnes lassées par la répétition infinie des codes de l’épouvante devraient y trouver leur compte. Tout comme les adeptes du contre-pied.

Pas un bruit

• Réalisateur : Mike Flanagan
• Acteurs : Kate Siegel, John Gallagher, Jr. Michael Trucco
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• Le pitch : Un film d’horreur fonctionne généralement très bien quand la vulnérabilité d’un personnage est habilement exploitée. Et pour cause, cela suscite de l’empathie chez les spectateurs tout en exacerbant l’atmosphère d’angoisse. C’est tout l’intérêt du film Pas un bruit où le réalisateur se sert de l’handicap de la protagoniste principale pour dérouler son intrigue horrifique. Écrivain sourde et muette, Maddie habite désormais dans une maison isolée au cœur de la forêt. Elle n’imagine alors pas qu’un tueur sanguinaire rode dans les parages, bien déterminé à l’assassiner. Ce huis clos prenant la forme d’un slasher sort des sentiers battus. L’ambiance pesante est sublimée par le jeu d’actrice de Kate Siegel qui parvient à retranscrire avec brio les réactions de panique de son personnage. Réactions qui sont évidemment bien différentes que celles qu’aurait eu une personne ne souffrant pas de son handicap.

Silent Hill (2006)

• Réalisateur : Christophe Gans
• Acteurs : Radha Mitchell, Sean Bean, Laurie Holden, Jodelle Ferland
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• Le pitch : L’adaptation du jeu vidéo Silent Hill est l’une des plus réussies de ces dernières années. Le réalisateur français Christophe Gans a réussi à reproduire l’ambiance malsaine et l’épouvante psychologique qui a fait le succès du survival horror d’origine. Les effets visuels sont toujours aussi réussis et les frissons, garantis. Somnambule, la jeune Sharon évoque inlassablement la ville fantôme de Silent Hill, la nuit venue. Face à cette obsession, Rose finit par y amener sa fille. Mais après un accident de voiture provoqué par l’apparition d’une fillette sur la route, Sharon a disparu, laissant sa mère se débattre dans les affres de la ville terrifiante…

Alien le Huitième Passager (1979)

• Réalisateur : Ridley Scott
• Acteurs : Sigourney Weaver, Tom Skerritt, Veronica Cartwright, Ian Holm, John Hurt
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• Le pitch : Si Star Wars a fait beaucoup pour la science-fiction moderne, l’héritage d’Alien est quant à lui double. Le film a permis de créer un genre à part entière : le space-slasher. Le film se déroule en effet en totalité dans l’espace et reprend tous les codes du slasher classique. Alors que des humains sont envoyés en mission dans le cosmos, ils vont embarquer malgré eux un extraterrestre vicieux, un prédateur ultime : le xénomorphe. Et celui-ci est bien décidé à faire un massacre, au grand dam de l’équipage terrifié. De fait, Alien peut être l’occasion d’initier vos amis fans de science-fiction aux films d’horreur. Et vice-versa.

Teddy (2021)

• Réalisateurs : Ludovic et Zoran Boukherma
• Acteurs : Anthony Bajon, Christine Gautier, Ludovic Torrent
• Le pitch : Cette comédie horrifique française est à visionner de toute urgence. Les frères Boukherma ont réussi à pondre une fresque de la France périphérique campagnarde qui s’entremêle délicieusement avec une intrigue de loup-garou. On y suit un certain Teddy, jeune marginal un tantinet fissuré aux yeux de ses pairs. Déscolarisé, il travaille dans un salon de massage et vit d’amour et d’eau fraîche, étant éperdument amoureux de sa petite amie. Une nuit, il se fait griffer par une étrange créature dans les bois. Ce qui va faire naître chez lui des pulsions dévastatrices… Drôle, dramatique, malsain et terrifiant, Teddy vous fera passer par toutes les émotions.

[REC] (2007)

• Réalisateur : Paco Plaza & Jaume Balagueró
• Acteurs : Manuela Velasco, Javier Botet, Pablo Rosso
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• Le pitch : Angéla et son caméraman accompagnent des pompiers en intervention dans un immeuble. Les habitants sont terrifiés par les cris d’une dame âgée. Celle-ci assène une morsure brutale à un policier et le mal va ensuite se propager dans tout l’immeuble. Angélà et son binôme ne vont pas en perdre une miette. Mais à quel prix ? Sorti en 2007, REC était un film espagnol à tout petit budget, filmé en shaky cam (en vogue à l’époque). Un moyen de se démarquer des autres long-métrages zombiesques. Et pour cause, toute l’action horrifique se développe à travers le point de vue de la caméra mouvante d’un reporter. Un parti pris réussi, le sentiment d’immersion dans l’horreur étant exacerbé et très pesant. D’autant qu’il s’agit d’un huis clos. Âmes sensibles s’abstenir !

Le Projet Blair Witch (1999)

• Réalisateur : Daniel Myrick & Eduardo Sánchez 
• Acteurs : Heather Donahue, Joshua Leonard, Michael C. Williams
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• Le pitch : Ce film, qui a démocratisé le genre Found Footage, a la particularité d’être dans la suggestion constante. Les réalisateurs en montrent très peu et parviennent à installer une atmosphère oppressante, se servant à foison des bruits de la forêt, d’hurlements nocturnes et de rires enfantins troublants. Certains apprécieront mais d’autres resteront sur leur faim. Cherchant à enquêter sur la sorcière Blair, trois cinéastes en jachère s’aventurent dans les bois du Maryland en quête de bonnes séquences après avoir sondé les habitants du coin. Ils vont toutefois vite regretter leur imprudence, comme en témoignent les prises de vue terrifiantes retrouvées après leur disparition.

Ring (1998)

• Réalisateur : Hideo Nakata
• Acteurs : Nagano Matshushima, Miki Nakatani, Hiroyuki Sanada
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• Le pitch : S’il a un style généralement très différent des codes classiques américains, le cinéma japonais a en revanche une certaine maîtrise du genre de l’horreur, et Ring en est un digne représentant. Le film entre même dans un genre spécial sur l’archipel appelé Yurei Eiga, ou « films de fantômes ». Il arrive à être terrifiant avec des effets très simples et raconte une histoire glaçante. Toute l’intrigue tourne autour d’une cassette maudite. Les personnes qui osent la regarder trépasseront au bout de sept jours. Cela ne va toutefois pas décourager certains petits malins qui vont prendre l’avertissement à la légère. Preuve de son succès et de sa qualité, Ring sera adapté quelques années plus tard dans un remake, de moins bonne qualité mais plus formaté pour le marché américain.

Creep (2014)

• Réalisateur : Patrick Brice
• Acteurs : Patrick Brice, Mark Duplass
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• Le pitch : Cette petite pépite en found footage mérite largement le coup d’œil. Un style qui se prête décidément bien au genre horrifique, les spectateurs pouvant se mettre aisément à la place du personnage, caméra au poing. En quête de sous, Aaron, réalisateur, répond favorablement à une offre un tantinet spéciale. Josef lui confie qu’il va mourir sous peu, souffrant d’une tumeur incurable au cerveau. Sa femme étant enceinte, il souhaite laisser une trace en vidéo à son futur fils. D’où l’utilité d’Aaron qui va le filmer à cet effet. Or, il va progressivement comprendre que son client est aussi dérangé que malsain… Et qu’il ne le laissera jamais en paix.

Scream (1996)

• Réalisateur : Wes Craven
• Acteurs : Neve Campbell, David Arquette, Courteney Cox, Drew Barrymore
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• Le ptich : Le film a relancé le genre du slasher movie dans les années 90 et beaucoup d’autres œuvres cinématographiques lui ont emboîté le pas (Souviens-toi l’été dernier, Urban Legends, etc.). Scream, c’est surtout ce tueur en série et son masque iconique, qui n’a de cesse de harceler Sidney et d’assassiner son entourage. Pour la petite histoire, le film a nécessité 200 litres de (faux) sang et le meurtrier de Scream s’inspire d’un véritable tueur en série, coupable de 8 meurtres et exécuté en 2006. Si vous avez le temps, n’hésitez pas à jeter un œil aux trois autres volets de la saga, qui réservent tous de leur lot de révélations et de scènes-chocs. D’autant que le cinquième opus de Scream déboulera le 12 janvier prochain au cinéma.

The Babysitter (2017)

• Réalisateur : McG
• Acteurs : Bella Thorne, Samara Weaving, Judah Lewis
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• Le pitch : Babysitter est l’un des petits bijoux de Netflix. Mêlant comédie et horreur, McG livre un film bourré de références, à l’action effrénée avec une galerie de personnages attachants. Se suit sans déplaisir, avec son petit lot de scènes gores, et une Sarama Weaving toujours aussi géniale dans le registre. Ayant noué une relation très forte avec sa baby-sitter, Cole décide un soir de l’épier. Sauf qu’il ne s’attendait pas à être confronté à un véritable bain de sang, la jeune fille animant un rite démoniaque… Sa suite, The Babysitter: Killerqueen, est également disponible. Elle prend corps deux ans après les évènements narrés dans le premier opus.

#Alive (2020)

• Réalisateur : Hyung-cho Il
• Acteurs : Park Shin-hye et Yoo Ah In
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• Le pitch: Laissez-vous tenter par ce film de zombies sud-coréen qui gagne à être connu. Celui-ci emboîte le pas d’un Dernier train pour Busan, misant également sur le huis clos. Joon-woo passe le plus clair de son temps à streamer des jeux vidéos. Jusqu’au jour où il apprend subitement qu’un dangereux virus se propage dans toute la Corée. Celui-ci transforme ses concitoyens en zombies avides de chair humaine. Il va alors tout faire pour survivre, luttant contre le danger, le poids de la solitude et ses envies de suicide. Outre la tension exercée par la menace zombiesque, ce film nous rappellera (avec effroi ?) les confinements successifs que nous avons dû subir dernièrement.

Martyrs (2008)

• Réalisateur : Pascal Laugier
• Acteurs : Mylène Jampanoi et Morjana Alaoui 
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• Le pitch : Martyrs fait plutôt partie des films que l’on caractériserait de torture porn, à l’image d’un Saw ou des opus de Hostel. Contrairement à un film d’horreur, Martyrs ne fait pas peur. Non, il se laisse même regarder comme un thriller lambda durant ses 20 premières minutes. Après, on aura difficilement vu moins soutenable, si ce n’est Salo ou les 120 jours de Sodome. Si le Marquis de Sade n’a jamais réussi à achever son œuvre, sans doute puisqu’il ne pouvait « montrer ce qui excède l’imagination », Martyrs parvient à déranger au-delà, psychologiquement et visuellement, montrant l’impuissance et la souffrance comme jamais.

Shining (1980)

• Réalisateur : Stanley Kubrick
• Acteurs : Jack Nicholson, Shelley Duvall et Danny Lloyd 
• Le pitch: Shining est un monument du cinéma. Avec lui, on découvre l’horreur en plein jour. Plongé dans l’obscurité, vous ne pourrez même pas vous réfugier dans la luminosité que reflète la neige autour de l’Overlook, hôtel où se déroule l’intrigue à huis clos. Adaptation du roman éponyme de Stephen King, le film de Kubrick se défait de toute une partie de l’histoire originale pour s’attarder sur l’ambiance, déroulant une action lente et pesante. La scène du tricycle en est un très bon exemple. Oppressant, Shining est sans nul doute l’un des meilleurs films d’horreur, servi par Jack Nicholson qui campe un personnage barbare, malsain et dérangé dans un jeu d’acteur à couper le souffle.

The Perfection (2018)

• Réalisateur : Richard Shepard
• Acteurs : Allison Williams, Logan Browning et Steven Weber
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• Le pitch : Après Get Out, Allison Williams fracasse de nouveau l’écran dans un film d’horreur éprouvant. C’est l’histoire d’une rivalité entre deux musiciennes qui va prendre un virage inattendu, The Perfection multipliant les révélations et autres jolies trouvailles scénaristiques. On apprécie notamment la narration chaloupée, entrecoupée de retours en arrière et de twists, qui va plonger progressivement les téléspectateurs dans une violence inouïe. Sans aucun doute l’une des productions les plus fortes sur la plateforme au N rouge.

Sinister (2012)

• Réalisateur : Scott Derrickson
• Acteurs : Ethan Hawke, Vincent D’Onofrio, James Ransone
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• Le pitch : Moniteur de fréquences cardiaques à l’appui, une étude britannique a établi que Sinister était le film d’horreur le plus effrayant parmi une cinquantaine de films d’horreurs emblématiques. De quoi vous donner une indication sur ce qui vous attend si vous décidez de tenter le diable. Voici le postulat de départ. Romancier à succès, Ellison élit domicile dans une nouvelle demeure avec sa famille. Détail qui n’en est pas un, l’ancienne famille a été sauvagement assassinée. Faisant fi de ce passé tumultueux, Ellison tombe sur une boîte garnie de bobines de films. Lesquels montrent des meurtres sordides. L’homme va mener l’enquête sur ces crimes alors que des évènements paranormaux surviennent dans la maison.

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