Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Image 1 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Du projet Titan à Overwatch

Overwatch est incontestablement un succès pour Blizzard, le plus gros rencontré à ce jour par l’éditeur pour un lancement de nouvelle licence, et le jeu en ligne auquel tout le monde joue autour de vous. Le titre regorge de qualités plus ou moins évidentes, ainsi que de références et autres petits détails qui, s’ils sont souvent discrets, contribuent à accroitre l’intérêt du jeu.

Le projet qui lui a permis d’exister a pourtant connu un sort beaucoup moins reluisant. Car avant même de penser à Overwatch, Blizzard travaillait sur un projet quelque peu différent, baptisé Titan, en développement depuis 2007. Ce projet a été en développement pendant près de sept ans avant d’être officiellement annulé chez Blizzard, qui le trouvait « pas assez amusant ». Mais ces sept années de travail n’ont pas été perdues, puisqu’une partie de la base de ce qui devait être un MMO a servi ensuite pour être intégrée à l’actuel Overwatch, notamment plusieurs cartes qui seront reprises dans le jeu final. Ainsi, la dimension fun a été mise en avant autant que possible dans ce dernier jeu.

Image 2 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Chaque personnage a son propre bruit de pas

Un des aspects assez spécifiques aux FPS est la possibilité d’entendre les bruits de pas d’un personnage lorsqu’il court, permettant d’avertir un joueur lorsqu’un adversaire se trouve à proximité. Blizzard a pris cet élément en compte, et y a ajouté une dimension assez inédite dans Overwatch : tous les personnages produisent leur propre son lorsqu’ils courent. Cela n’a l’air de rien au premier abord, mais un joueur entraîné peut immédiatement savoir quel personnage l’attend derrière un coin avant même de le voir, à l’exception de Zenyatta, qui se déplace en flottant au-dessus du sol, et ne produit donc aucun son…

Cette reconnaissance facilité des personnages se retrouve également dans l’apparence 

Image 3 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Un jeu accessible même aux débutants

Dès le départ, Blizzard voulait son jeu accessible et facile à prendre en mains par ses joueurs. Ainsi, nous sommes loin des Counter Strike et autres jeux de tir où la précision et la coordination parfaite est requise pour accéder à la victoire, et Overwatch tend résolument une main vers les débutants et autres joueurs peu familiers du genre. Ainsi, de nombreux personnages ne nécessitent même pas de viser avec précision pour atteindre une cible, leurs armes ou capacités se chargeant bien souvent de corriger ces défauts pour eux. Cela renforce encore la dimension de fun que Blizzard a voulu placer au centre de son jeu, et s’avère agréable pour le joueur en supprimant la frustration de ne pas être au niveau des autres membres de l’équipe.

L’équipe, d’ailleurs, est au centre de la jouabilité et de la volonté d’accessibilité de Blizzard. Chaque équipe compte six joueurs, et ce chiffre n’est pas choisi au hasard : Blizzard considère qu’il s’agit du chiffre parfait pour permettre à chaque joueur d’avoir un rôle défini dans l’équipe, sans pour autant pénaliser les autres joueurs si l’un d’eux n’est pas au niveau de ses coéquipiers.

Image 4 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Du cosplay surprise le jour de l’annonce

Overwatch est annoncé pour la première fois le 7 novembre 2014 lors de la BlizzCon. Il s’agit alors d’une annonce particulière pour Blizzard, qui présente alors sa première licence originale depuis 1999 et la sortie de StarCraft. Et comme pour vouloir lancer une mode, qui sera alors très vite reprise, le public peut alors admirer sur scène les trois premiers personnages présentés : Tracer, Fatale et Faucheur, représentés par trois cosplayers invités tout spécialement par Blizzard pour l’occasion.

Il a fallu mettre les cosplayers en question dans la confidence afin que ces derniers se fabriquent un costume pour un jeu qui n’était pas encore dévoilé, mais cela était finalement assez simple pour Blizzard, puisqu’il s’agit en réalité d’employés de l’entreprise. Ainsi, Rachel Day, connue comme une cosplayeuse dans la communauté des joueurs, et qui a grimpé sur scène déguisée en Fatale, occupe également le poste de technical artist chez l’éditeur.

Image 5 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Jusqu’à 1890 niveaux à atteindre

Overwatch permet de gagner de l’expérience, et donc de passer des niveaux à mesure qu’on progresse dans le jeu. Mais comme souvent dans ce cas, il existe un niveau maximal au-delà duquel le compteur ne grimpe plus, il s’agit du niveau 100. Mais contrairement à d’autres titres du genre, celui de Blizzard a la particularité de repartir à zéro, affichant alors une étoile de prestige, pour signaler que le joueur a déjà fait le tour du compteur. Cette boucle peut être réalisée jusqu’à 18 fois de suite. Arrivé à l’équivalent du niveau 1890 (ce qui représente déjà quelques centaines d’heures de jeu, au minimum), le logo du joueur se pare d’une couleur dorée, et son niveau n’augmentera plus.

Image 6 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Des films et des BD pour enrichir l’univers

Un jeu avec un budget comme celui d’Overwatch fait souvent l’objet de nombreux produits dérivés plus ou moins originaux. Dans le cas du dernier jeu de Blizzard, l’éditeur a choisi d’adapter son univers dans d’autres médias, à savoir des films et plusieurs bandes dessinées racontant l’histoire autour des différents personnages. La première BD, disponible gratuitement en ligne, raconte l’histoire du personnage de Jesse McCree, le cowboy du jeu. Elle a rapidement été suivie par d’autres éditions, disponibles sur le site officiel du jeu, et couvrant l’histoire d’autres personnages comme Torbjörn ou encore Symmetra.

Le premier court-métrage, quant à lui, se nomme Le Rappel et est sorti quelques semaines avant le jeu. Il raconte notamment l’histoire de Winston. En tout, ce sont déjà quatre épisodes de ces petits films qui sont disponibles à l’heure où nous écrivons ces lignes : En vie, qui suit Tracer, Deux dragons, qui s’intéresse à Hanzo, et Héros, qui met en scène le Soldat 76.

Image 7 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Pourquoi toutes les voitures volent ?

Les joueurs d’Overwatch auront probablement déjà remarqué que la totalité des voitures présentes dans le jeu sont pourvues de la capacité de voler : à la manière de la DeLorean de Retour Vers le Futur 2, les roues se replient pour laisser le véhicule flotter au-dessus du sol. Ce petit détail pourrait sembler anodin, mais il résulte d’une véritable réflexion chez Blizzard : rappelez-vous, nous avons vu que le développeur voulait absolument tout miser sur le fun. Et il se trouve qu’en interne, les développeurs trouvaient fun de voir des voitures voler, ce qui explique du même coup que la décision a été prise de faire voler toutes les voitures du jeu, sans exception.

Image 8 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Les polémiques sur les personnages féminins

Overwatch propose une représentation assez variée de personnages féminins : 8 femmes sur 21 personnages (au milieu desquels se cachent également un gorille et plusieurs robots). Mais la représentation même de ces femmes n’a pas manqué de poser un certain nombre de problèmes auprès du public. Si les poses lascives de Tracer ont pu faire réagir quelques fans du jeu par leur vulgarité et leur appât pour jeunes joueurs masculins, c’est surtout un mouvement de Fatale qui a été controversé. Lorsque celle-ci activait son mouvement spécial (ultimate), nommé Infravision, les autres joueurs pouvaient voir son arrière train littéralement doubler de volume, sans aucune raison particulière. Cette plaisanterie de mauvais goût n’a cependant pas passé le filtre des phases de test.

Image 9 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

L’histoire de Genji et Hanzo

Une autre particularité des personnages d’Overwatch est que chacun a sa nationalité propre, bien différente des autres, à deux exceptions près : Chacal et Chopper, tous les deux japonais, et Hanzo et Genji, qui partagent la nationalité japonaise en plus d’être frères. Ces deux dernier partagent d’ailleurs une histoire assez complexe dans l’univers du jeu vidéo. Au départ, Blizzard voulait un héros japonais, et les équipes se sont mises au travail pour créer un personnage rassemblant tout ce qu’ils voulaient voir dans un héros de ce type, mais ont dû rapidement se rendre à l’évidence : le personnage ainsi créé avait beaucoup trop de capacités par rapport aux autres. La décision a alors été prise de le séparer en deux personnages distincts, qui sont devenus les frères Genji et Hanzo Shimada.

Ces deux personnages ont évidemment une histoire très liée, expliquant notamment pourquoi Genji est désormais un cyborg, ou encore pourquoi Hanzo manie l’arc. Les deux frères ont en effet de nombreux conflits les opposant, et Genji s’est un jour retrouvé gravement blessé lors d’un combat au sabre avec son frère. Ces blessures ont contribué à l’apparence actuelle de Genji, et Hanzo abandonnera plus tard son sabre pour lui préférer l’arc.

Image 10 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

McCree, un hommage aux westerns

Chacun des personnages d’Overwatch a son propre univers plus ou moins développé, et montre une personnalité et des traits qui piochent dans différentes sources de la culture populaire. Ainsi, McCree est une représentation presque caricaturale du cowboy américain du 19e siècle, et Blizzard en a profité pour placer des références à tous les niveaux dans ce personnage, comme dans d’autre. Ainsi, son attaque Ultimate se nomme « High Noon » (« Implacable », en français). Lorsqu’il l’active, il est capable d’abattre plusieurs adversaires en une fraction de seconde. Cette attaque fait référence au western classique « Le Train Sifflera Trois Fois », qui porte justement le nom de « High Noon » en version originale, et qui raconte l’histoire du Shérif Will Kane, qui doit justement affronter quatre bandits en même temps à lui tout seul.

Cette référence se retrouve également dans le titre français de la bande-dessinée que Blizzard lui consacre, et qui se nomme « L’Hypertrain Sifflera Trois Fois ».

Image 11 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Torbjörn, le nain, pas la chaise

L’un des héros notables d’Overwatch est Torbjörn, le représentant suédois, qui arbore une longue barbe et se fait notamment remarquer avec son marteau grâce auquel il est capable de construire et de réparer une tourelle en pleine bataille. Mais si on tape son nom dans un moteur de recherche, il est possible se trouver redirigé vers… Ikea, le vendeur suédois de meubles en kit, qui propose justement une chaise portant le nom de Torbjörn. Ainsi, si Torbjörn partage à la fois le nom d’un meuble et la nationalité de l’enseigne, il est difficile de ne pas remarquer que sa capacité de bricoleur émérite rappelle fortement les meubles en kit venus de Suède.

Image 12 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Des bornes d’arcade dans le jeu

L’aire de jeu située à Hanamura, au Japon, propose également de petits easter eggs dont seuls les plus observateurs pourront profiter pleinement. Ainsi, on y trouve notamment une salle de jeux dans laquelle se trouvent plusieurs bornes d’arcade. Si les jeux qui s’y trouvent sont tous fictifs, ils font en revanche référence à plusieurs titres qui existent bel et bien : Fighters of the Storm, qui mélange à la fois Street Fighter et Heroes of the Storm, Siege Mode 3, mélange de StarCraft et de Metal Slug, The Lost Vikings VI, suite imaginaire de la saga lancée par Blizzard dans les années 90, et Vivi’s Adventures, qui fait fortement penser au personnage de Li Li Brune d’Orange de la saga Warcraft.

Image 13 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Téléchargez la musique de Lucio

Le personnage de Lucio est connu pour être un DJ dans l’univers d’Overwatch, et tout ce qui l’entoure concerne donc la musique, jusqu’à son arme qui diffuse de la musique pendant les matchs. Pour la promotion de ce personnage, qui a été dévoilé lors de la GamesCom en août 2015, Blizzard a diffusé deux morceaux gratuits à télécharger, en annonçant qu’il s’agissait de la musique produite par Lucio lui-même. Ces deux morceaux se retrouveront ensuite dans le jeu, puisqu’il s’agit des pistes jouées par l’arme de Lucio lors qu’il l’utilise durant les matchs.

Image 14 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Sortie le 10 Automne

Comme beaucoup de jeux de sa catégorie, Overwatch a fait l’objet de nombreuses rumeurs avant sa sortie, notamment de rumeurs qui concernaient justement sa date de sortie. Ainsi, alors que beaucoup attendaient une bêta publique pour l’automne 2015, certains internautes et YouTubers se mis à plaisanter sur une date fictive : le 10 Automne (Fall 10th en anglais). Cette blague s’est vite répandue dans la jeune communauté de fans du jeu, et est parvenue jusqu’aux oreilles de Blizzard, qui a décidé de faire un clin d’oeil aux fans en l’incluant ensuite dans le jeu. On peut notamment voir, dans le niveau d’Hollywood, des affiches de films annonçant une date de sortie pour « Fall 10th », entre autres références à cette plaisanterie.

Image 15 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Overwatch a failli ne pas s’appeler Overwatch

Parti du projet Titan mort dans l’oeuf, Blizzard avait décidé de renommer son jeu Overwatch, en imaginant à l’avance tout un univers autour de ce nom. Mais c’était sans compter sur un autre Overwatch, qui était alors le nom d’une application mobile développée par Innovis Labs. Il s’agit d’un jeu destiné aux fans de paintball et autres airsoft guns, ces pistolets à billes reproduisant des armes réelles. En utilisant la réalité augmentée, l’application permet à un smartphone d’accompagner les joueurs lors d’une partie. Les deux parties ont depuis réglé leur différent, permettant à Blizzard de conserver le nom, les termes de l’accord n’ayant pas été dévoilés publiquement. Toujours est-il que l’application Overwatch est toujours disponible gratuitement sur l’App Store.

Image 16 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Une phase de beta record

Entre l’annonce initiale du jeu en novembre 2014 et sa sortie en mai 2016, Blizzard a mené une communication maîtrisée autour de son jeu. Entre différentes annonces présentant des personnages au compte-gouttes et juste assez d’éléments pour faire patienter les joueurs, l’éditeur a su jouer sur les attentes des fans pour maintenir l’intérêt autour de son jeu. Ainsi, plusieurs phases de tests publics ont été organisées, que ce soit pour les versions alpha ou beta, et ont permis aux joueurs d’avoir un aperçu gratuit de tout le potentiel du titre. Ces phases de test ont été un succès retentissant, puisque près de 9,7 millions de joueurs y auraient participé dans le monde, un record pour l’éditeur.

Image 17 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

7 millions de joueurs dès la première semaine

La beta d’Overwatch a été un succès retentissant pour Blizzard, ce qui annonçait une réussite similaire pour le jeu final. Et ça n’a pas loupé : sur les quelques millions qui ont participé aux tests publics, ce sont en tout 7 millions de joueurs qui se sont procuré le jeu dès la première semaine. Cela représente un nouveau record battu pour Blizzard, mais aussi dans l’industrie du jeu vidéo de manière générale, seulement battu par des mastodontes du marché comme GTA V et ses 16 millions d’exemplaires vendus en trois jours.

Image 18 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

La communauté s’empare de l’univers

Nous l’avons vu, le cosplay a rapidement fait partie de la communauté d’Overwatch, Blizzard ayant présenté trois costumes inspirés du jeu vidéo le jour même de son annonce au grand public. Mais la diversité des personnages et leurs looks bien particuliers ont été des éléments clés dans le fait que la communauté s’empare du phénomène en se l’appropriant à travers ses créations. Ainsi, il n’est pas rare de croiser des costumes inspirés d’Overwatch lors des rassemblements dédiés aux jeux vidéo, mais aussi d’autres types de créations mettant la communauté en ébullition, comme des dessins de fans, ou encore l’écriture d’histoire fictives mettant en scène les différents personnages, pratique qui est généralement réservée aux oeuvres de fiction les plus populaires. Ce sont autant de signes du succès fulgurant, et presque un peu effrayant, du nouveau jeu de Blizzard.

Image 19 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

On peut jouer au tennis dans Overwatch

Overwatch est, sans conteste, un FPS, soit un jeu de tir à la première personne, dont le but est de mener votre équipe à la victoire en mettant hors d’état de nuire l’équipe adverse. Mais si cette activité occupe la majorité des joueurs, d’autres ont déjà trouvé le moyen de détourner les mécaniques du jeu à d’autres usages. Ainsi, des joueurs coréens ont trouvé le moyen d’utiliser une des capacités de Genji, qui lui permet de renvoyer un projectile avec son sabre, pour s’offrir une partie de tennis dans le jeu. Les raquettes sont ainsi remplacées par des sabres, et la balle est ici une grenade, tandis que deux joueurs simulent le filet grâce au rayon coloré de Ange. Le résultat a donné une vidéo qui est très vite devenue virale.

Image 20 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Overwatch aurait pu être gratuit

Une certaine confusion a longtemps plané autour d’Overwatch durant son développement, et pour cause : le jeu aurait pu être distribué gratuitement par Blizzard, qui aurait alors facturé divers éléments de jeu pour entrer dans ses frais. Nous savons aujourd’hui qu’il n’en est rien, puisque le titre est vendu sur PC, PS4 et Xbox One, mais la gratuité du titre est resté une forte éventualité jusqu’à fin 2015. Le jeu était alors uniquement annoncé sur PC, et il semblait entendu que son modèle économique suivrait celui de Hearthstone, à savoir un jeu gratuit dans lequel une partie du contenu sera payante. Blizzard a manifestement envisagé cette option, mais ce choix semble avoir été balayé à l’automne 2015, avec l’annonce de l’arrivée du jeu sur consoles, puisque c’est à cette époque que l’éditeur a annoncé le prix de vente de son jeu, mettant fin du même coup aux espoirs d’accéder à un jeu gratuit.

Image 21 : Overwatch : 21 choses que vous ne saviez pas sur le phénomène du jeu vidéo

Soldat 76 rebaptisé en Papa 76

Personnage au gameplay hyper classique pour un FPS, Soldat 76 n’est autre que Jack Morrison, l’un des deux cofondateurs de l’agence Overwatch. Pour beaucoup d’internautes, il a donc tout d’un papa pour les autres personnages, particulièrement les plus jeunes comme D.Va, Tracer, Lucio, Mei ou Chacal. Il est devenu un véritable même sur Internet, rebaptisé Dad 76 et mis en scène en père hyper protecteur à travers de nombreux fan-arts comme celui-ci, réalisé par Polkabun sur DeviantArt.

👉 Vous utilisez Google News ? Ajoutez Tom's Guide sur Google News et sur Whatsapp pour ne rater aucune actualité importante de notre site.

Votre Newsletter Tom's Guide

📣 Souscrivez à notre newsletter pour recevoir par email nos dernières actualités !