Berlin en Antarctique
Si on vous dit « Berlin », vous pensez bien entendu à la capitale allemande ? Perdu, selon iOSMaps, la ville de Berlin se trouve en réalité au beau milieu de l’Antarctique. L’explication peut venir du fait qu’il existe effectivement, en Antactique, un « Mont Berlin ». Quoi qu’il en soit, il est surprenant que l’application ne propose pas en premier lieu la ville européenne.
La Terre devient un damier
Le chargement des cartes peut parfois s’avérer imprécis et laborieux. Ainsi, le service de cartographie d’Apple peut parfois éprouver des difficultés à afficher correctement les plans, et les remplacera alors par une image générique, quitte à recouvrir les trois quarts de la planète avec un damier noir et blanc.
Un pont qui devient une montagne
Voilà qui illustre parfaitement les nombreux problèmes de reliefs que l’on peut constater dans iOS Maps : ici, en Allemagne, ce qui est censé être une route suspendue au dessus d’une rivière devient une montagne. L’application semble en effet avoir beaucoup de mal à représenter avec précision les ponts et autres routes aériennes dans sa fonction 3D.
Des arbres en forme de rocher
La modélisation 3D des éléments peut aussi s’avérer problématique pour l’application. Ici, nous survolons le carrefour de Manhattan où se trouve le célèbre Apple Store en forme de cube. Rien de bien spécial à signaler, si ce n’est la présence d’arbres en face de la boutique (qui existent bien en réalité), dont la ressemblance se rapproche plus d’énorme rochers que d’un espace vert.
Une bosse dans le décor
La gestion du relief étant très aléatoire dans le mode 3D, elle peut parfois donner des résultats improbables. Ici, nous sommes à Toronto, à l’endroit où est censée se trouver la station de métro Islington. Difficile d’expliquer ce qui provoque une telle bosse au milieu d’un paysage plat.
Des stations-service sur les toits
Apple a pensé à apposer des points d’intérêts sur ses cartes, et tente donc d’afficher la présence des commerces , des écoles, des restaurants ou encore des stations services. Mais au beau milieu de Houston, au Texas, l’application semble confondre les toits de ces buildings avec des stations-services. Difficile d’aller faire le plein au 40e étage d’un immeuble.
Vol au dessus d’un pont
Nous vous parlions plus tôt de la difficulté qu’iOS Maps rencontre pour modéliser les ponts et gérer la route qui passe dessus. En voici un autre exemple criant : le pont du Golden Gate, à San Francisco. La route passe bien sur le pont, mais à l’endroit où les piliers le soutiennent, nous pouvons constater que le chemin s’élève brutalement… pour passer au dessus, à plusieurs dizaines de mètres du sol !
Des cartes en pixel art
Le chargement de certaines cartes est compliqué, et parfois même tout simplement impossible. Cette carte se situe au Nord de l’Angleterre, et est censée nous montrer les environs de la petite ville de Coniston. Si les routes s’affichent correctement, il est impossible d’obtenir autre chose qu’une bouillie de pixels en guise de carte.
Un trou noir à New York
Dans la catégorie des bugs inexplicables, la région du pont de Brooklyn, à New York, fait fort. Ici, nous constatons qu’à l’endroit où devrait se trouver un pont, une énorme ligne noire traverse le fleuve, et rend au passage toute une partie de la carte totalement illisible. Un autre exemple de la gestion catastrophique de l’application sur certains ponts en 3D.
L’itinéraire qui tourne en rond
Déjà avec Google Maps, il était possible d’obtenir des itinéraires pas vraiment optimisés, et qui avaient même tendance à doubler le temps de trajet. Avec iOS Maps, il est même possible d’obtenir un itinéraire qui tourne en rond dans votre quartier, mais ne vous amène jamais à l’endroit demandé, pourtant situé à moins de deux kilomètres.
Mauvaise adresse
Autre exemple de mauvaise gestion des points d’intérêts : iOS Maps se targue de pouvoir vous indiquer avec précision l’emplacement de n’importe quel Apple Store sur le globe, si jamais une folie dépensière vous prenait subitement. Le problème, c’est qu’Apple arrive même à se tromper avec l’adresse de ses Apple Store, les affichant parfois de l’autre côté de la rue.
La plus grande ombre du monde
La Burj Khalifa, également appelée Burj Dubaï, est depuis 2008 la plus haute tour du monde. Il semble donc logique de vouloir profiter de la fonction 3D d’iOS Maps pour aller se donner une idée de sa taille impressionnante. Malheureusement, si on se rend sur place avec la fonction activée, on n’aura que la déception de constater que le paysage est tout ce qu’il y a de plus plat. Seule une grande ombre témoigne de la taille réelle du bâtiment.
Le plat pays
Reconnaissons toutefois à la fonction 3D qu’elle sait se montrer impressionnante… Lorsqu’elle fonctionne ! Ici, à Londres, nous avons un exemple parfait du contraste provoqué par les dysfonctionnements de la vue en 3D : en plein milieu de la ville, la totalité des bâtiments et autres reliefs deviennent plats.
Manger en plein air
Qui n’a jamais utilisé le GPS de son téléphone pour trouver un restaurant proche de soi ? Avec l’application d’Apple, on peut toutefois avoir quelques mauvaises surprises : dans cet exemple, nous trouvons bel et bien la position d’un restaurant, mais iOS s’obstine à nous indiquer qu’il se trouve au beau milieu d’un terrain vague.
Rome en Corée du Nord
Comme pour Google Maps, il est évidemment possible de taper le nom d’un pays, d’une ville, ou même une adresse précise pour y être emmené immédiatement. Enfin, en théorie, puisque lorsqu’un utilisateur a voulu visiter virtuellement la ville de Rome, l’application lui a proposé à la place d’aller voir… Pyongyang, en Corée du Nord.
Un itinéraire pour Shadoks
La fonction d’itinéraires peut donner des résultats surprenant. Lorsqu’une personne a demandé le chemin pour se rendre de San Francisco à Sausalito, elle s’attendait à ce que l’application lui demande de passer par le pont du Golden Gate, qui relie les deux terres. Que nenni, chez Apple on préfère l’originalité : on vous emmène au port, et on vous suggère de prendre le ferry !
Un pont ondulé
Nous n’avons pas résisté à l’envie de vous montrer un dernier exemple de pont dans iOS Maps : voici le Severn Bridge, connu en Grande Bretagne pour relier l’Angleterre et le Pays de Galle. Encore une fois, il est difficile d’expliquer ce qui provoque de telles vagues sur un simple pont au dessus d’une mer qui n’a pas vraiment l’air déchaîné. On constate que l’ombre, en revanche, est impeccable.
Une ville dans les nuages
La ville de Sundsvall, en Suède, a un problème : son climat capricieux semble avoir empêche Apple d’obtenir des images satellite suffisamment satisfaisantes. Mais ce n’est pas ça qui va arrêter la marque à la Pomme : on se contentera de coller simplement les routes par dessus les nuages, l’imagination des utilisateurs fera le reste !
Retour vers le passé
Certaines images sont couvertes par des nuages, d’autres semblent venir d’un autre temps. Par exemple à Terengganu, en Malaisie, où iOS Maps affiche une image satellite en noir et blanc difficilement lisible, et qui semble avoir été prise dans les années 60. Cela ne ferait pas de mal à l’application d’Apple de faire un peu de ménage dans ses clichés.
Un échangeur sens dessus-dessous
Enfin, voici un résultat au moins aussi hilarant que les nombreux ponts qu’iOS Maps a tant de mal à modéliser. Nous nous trouvons cette fois devant un échangeur d’autoroute, qui donne toute la peine du monde l’application lorsqu’elle doit l’afficher en mode 3D. Le résultat est une série de vagues et de reliefs aléatoires sur la route.
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