L’année dernière, plusieurs média ont publié des articles relatifs au Momo Challenge. Le maître du jeu devait appeler une personne au hasard sur WhatsApp et l’inciter à se « surpasser » à travers des défis dangereux jusqu’à le pousser au suicide. Finalement, journalistes et associations ont décidé de casser le mythe. Le Momo Challenge n’a toujours été qu’une rumeur et n’a jamais existé.
Momo Challenge : aucun suicide
Le Monde a effectué une enquête en profondeur. Selon ses journalistes, Momo est une « fake news ». Ils ont sollicité l’avis de Samuel Comblez, qui travaille en tant que directeur des opérations au sein de l’association e-enfance. Ce spécialiste rappelle l’attitude des adolescents « qui aiment se faire peur ». Il souligne aussi l’inexistence de blessures ou de suicides provoqués par le challenge. Sa conclusion est claire : le phénomène est « une légende urbaine ».
Outre-manche, les Samaritans sont parvenues à la même conclusion. D’après le porte-parole de cette association similaire à la Croix-Rouge, ils n’ont trouvé « aucune preuve de suicides ». Pourtant, la presse a largement commenté ce défi depuis juillet 2018.
Quelques explications sur les origines de Momo
Des jeunes Sud-américain ont lancé une blague sur Facebook. DrossRotzank, un Youtubeur vénézuélien, a amplifié la plaisanterie en lui associant un visage donnant la chair de poule. Modélisée par l’équipe de Link Factory, un studio produisant des effets spéciaux pour les films d’épouvantes, cette statue est bien réussie.
La rumeur a vraiment explosé lorsqu’un journal argentin a rapporté le suicide d’une jeune fille de 12 ans à cause du « Momo Challenge». Même si les enquêteurs ont découvert qu’il s’agissait d’un crime sexuel, le mal était fait.
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Peut etre a l’origine fut ce un canular mais certains s’en sont empare et malheureusement il y a des videos publiees sur youtube kids avec momo seul(e) ou bien apparaissant dans des videos pour enfants. C’est l’information reliee par les medias en Ameriques du Sud et Nord en fevrier et mars 2019, preuves a l’appui (videos). Google aurait repondu que l’entreprise filtrait deja beaucoup de contenu et qu’il etait possible que certains inappropries leur echappent. Leur commentaire de bon sens est que les parents doivent toujours superviser leurs enfants surtout dans leurs recherches sur internet. References des reportages sur demande.… Lire la suite »