Test Dell Alienware x16 : un PC portable gamer performant, relativement compact et haut en couleurs

Parmi les PC portables Alienware de Dell, destinés aux joueurs, deux gammes sont proposées. Tout d’abord, on trouve les Alienware m16 et m18. Aux formats 16 et 18 pouces, ces configurations sont dotées de processeurs Intel ou AMD (m16) ou Intel seulement (m18). Il y a deux mois, nous avons d’ailleurs testé l’Alienware m16, dans une configuration d’entrée de gamme, qui – malgré ses qualités – nous avait laissé quelque peu sur notre faim. Et si deux modèles m17 sont encore proposés sur le site du constructeur, ils n’intègrent que des composants de l’année dernière (AMD Ryzen de 6eme génération et puce graphique Nvidia GeForce RTX3070 Ti).

La seconde gamme ne comporte pour l’instant qu’une référence. Il s’agit de l’Alienware x16, qui est doté d’un processeur Intel. Ce modèle se distingue de son grand frère, de la gamme m, par un format plus fin et plus léger. L’année dernière, Dell avait encore à son catalogue un Alienware x14, plus petit, que nous avions testé.

Quel est le prix de l’Alienware x16 ?

Comme à son habitude, le site de Dell permet à chacun de configurer sa machine aux petits oignons, grâce à un large choix de composants :

• Deux processeurs Intel (Core i7-13700H ou Core i9-13900HK)
• Quatre puces graphiques GeForce (RTX4060, RTX4070, RTX4080 et RTX4090)
• 16 ou 32 Go de mémoire
• Un ou deux SSD pour une capacité de stockage pouvant grimper dans les deux cas jusqu’à 4 To (deux disques configurés en RAID 0 ou un seul de 4 To).
• Ecran 16 pouces QHD+ (2560 x 1600 pixels) en 165 ou 240 Hz ou Full HD+ (1920 x 1200 pixels) en 480 Hz.

Les prix s’échelonnent de 2099 € à plus de 4200 €. La configuration que nous avons reçue, sans être la mieux équipée est tout de même proposée à 2682,94 € (Dell n’aime pas les comptes ronds !).

A configuration quasiment identique, l’Alienware m16 est plus cher : 3219 €. Si ce dernier est un peu plus lourd et plus épais que le x16, il a l’avantage d’intégrer un connecteur Ethernet (alors qu’il faut un adaptateur pour le x16).

Parmi les concurrents de cet Alienware x16, on peut citer les deux PC portables suivants :

• L’Asus ROG Strix Scar 16 est proposé à 3299 €, dans une configuration comparable à l’Alienware x16 : RTX4080 et écran QHD 240 Hz, mais avec un processeur plus véloce, le Core i9-13980HX (voir section sur les performances). Nous avons testé l’Asus ROG Strix Scar 16 il y a quelques mois dans une configuration plus haut de gamme, dotée d’un écran avec un rétro éclairage mini LED.
• Le Razer Blade 16. Ce PC portable est commercialisé 4599 €, avec un écran similaire et la même puce graphique, et lui aussi avec un processeur Intel plus véloce, en l’occurrence le Core i9-13950HX.

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Quelles sont les caractéristiques techniques de l’Alienware x16 ?

La principale caractéristique technique qui différencie l’Alienware x16 de son grand frère, l’Alienware m16 réside dans l’intégration du processeur core i9 de la série HK pour le premier, contre un modèle de la série HX pour le second.

• Processeur : Intel Core i9-13900HK
• Processeur graphique : Nvidia GeForce RTX 4080
• Mémoire : 32 Go, LPDDR5 6000 MHz
• Stockage : 1 To, PCIe MVMe (2 emplacements M.2)
• Ecran : 16 pouces, 16:10, QHD+ (2560 x 1600 pixels), 240 Hz, G-Sync, Optimus
• Webcam : 1080p, IR (compatible Windows Hello)
• Connectivité : 2 USB C (dont un compatible Thunderbolt 4), 2 USB A 3.2, HDMI 2.1, mini DisplayPort 1.4, microSD, jack audio (adaptateur USB C / Ethernet)
• Batterie : 90 Wh
• Chargeur : propriétaire 330 W
• Poids : 2,6 kg

Un design atypique, fin et pourtant imposant

Le boîtier de l’Alienware x16 est principalement réalisé en aluminium anodisé (coloris Lunar Silver), avec une partie arrière blanche, en alliage de magnésium (Lunar Light). Son poids est de 2,6 kg, soit environ 400 grammes de moins que l’Alienware m16. C’est aussi presque le même poids que l’Asus ROG Strix Scar 16 (2,5 kg) et 350 grammes de plus que l’Asus ROG Zephyrus m16.

Pour ce qui est de l’encombrement, la configuration mesure 36,4 x 29 x 1,85 cm. Son épaisseur s’avère donc effectivement plus petite que celle de l’Alienware m16, qui mesure en effet 36,9 x 29 x 3 cm. L’Alienware x16 est aussi moins épais que l’Asus Zephyrus M16 GU604 (2,3 cm d’épaisseur), qui est lui même plus fin que l’Asus ROG Strix Scar 16 (3 cm).

Le petit souci, c’est que cette épaisseur – considérablement réduite – s’accompagne d’un format plus proche du carré (36,4 x 29 cm) que du rectangle, à l’instar de tous les autres PC portables, comme l’Asus ROG Zephyrus M16 (35,5 x 24,6 cm ). La différence entre les deux configurations réside dans cette protubérance blanche de 4,5 cm, qui “prolonge” l’Alienware x16 et à laquelle sont rattachés tous les connecteurs.

La connectique de la configuration s’avère d’ailleurs assez complète, avec deux ports USB A, deux autres de type USB C, des sorties vidéo HDMI 2.1 et miniDisplayPort 1.4, l’incontournable prise casque/micro et un lecteur de cartes mémoire microSD. Il ne manque donc que le port Ethernet. Enfin, pas vraiment, puisque Dell fournit un adaptateur USB C / Ethernet. C’est toujours ça…

Seul problème, cette disposition ne s’avère pas des plus pratiques, si on a l’habitude de débrancher et rebrancher régulièrement certains périphériques, comme une souris ou un disque dur externe. De plus, le soir, dans la pénombre, la bande de LEDs qui illumine l’arrière du châssis, en faisant le tour des connecteurs, a tendance à nous aveugler. On se retrouve donc à chercher les connecteurs à tâtons, ou à désactiver le rétro éclairage…

Et si on aime les châssis illuminés, l’Alienware x16 est l’une des machines les mieux loties, avec l’Asus ROG Strix Scar 16. En effet, les éléments suivants peuvent être agrémentés d’effets lumineux RGB :

• Le clavier (avec configuration des couleurs touche par touche)
• Le contour du bord arrière du châssis
• La tête d’alien au dos de l’écran
• Et – la grosse nouveauté – le pavé tactile RGB ! Avec son dispositif de rétro éclairage, il n’est plus question de le perdre de vue lorsqu’on utilise le PC portable dans l’obscurité.

Comme d’habitude sur le PC portables Alienware, la configuration de ces effets lumineux (couleur et animation) s’effectue par l’intermédiaire de l’application Alienware Command Center.

Le clavier, dénué de pavé numérique, offre une frappe très confortable. Une simple combinaison de touche (FN + F1) permet d’activer le mode Hautes Performances. La touche F1 s’éclaire alors en blanc… Le pavé tactile, quant à lui, est de taille moyenne et sa surface permet à l’index de glisser sans le moindre accroc.

Sous le châssis, un petit coffrage sert à créer un petit espace entre l’Alienware x16 et la surface sur laquelle il repose. Ainsi, le passage de l’air est facilité, ce qui est indispensable pour assurer un refroidissement optimal des composants internes.

D’autre part, la sécurité des données et des applications n’est pas assurée par un lecteur d’empreintes digitales, mais par la Webcam, Infra Rouge, compatible Windows Hello, qui peut être mise à profit pour reconnaître le visage utilisateur. De plus, celle-ci est en mesure de filmer en 1080p, ce qui permet à vos interlocuteurs de bénéficier d’une meilleure qualité d’image lorsque vous communiquez avec eux en visioconférence.

Enfin, si vous ne désirez pas utiliser un casque audio ou des écouteurs intra-auriculaires, pas de problème ! En effet, l’Alienware dispose d’un équipement audio efficace, composé de deux tweeters, de 2 W chacun, et de quatre woofers de 3 W chacun. Résultat, la qualité audio délivrée s’avère très convaincante. Elle allie une puissance appréciable et une bonne précision, en particulier dans les basses, qui – une fois n’est pas coutume – s’affirment de façon très satisfaisante lorsqu’on écoute de la musique ou quand on regarde des vidéos.

Un écran fluide et précis, mais aux contrastes et à la luminosité limités

Pour l’affichage, l’Alienware x16 ne fait pas dans l’original. Il aurait pu en effet embarquer une dalle OLED ou LCD avec un rétro éclairage mini LED. Au lieu de cela, il se contente d’assurer un service traditionnel, en exploitant une dalle LCD “classique” (à rétro éclairage LED) de 16 pouces. Et, comme très souvent sur un PC gamer, celle-ci est mate. Aucun reflet ne viendra donc perturber la traque des adversaires.

Les images sont affichées dans une définition QHD+, soit 2560 x 1600 pixels. C’est le mode graphique le plus souvent adopté par de nombreux constructeurs pour leurs configurations gamers, car il constitue le meilleur compromis entre l’ancestral mode Full HD (1920 x 1080 pixels) et le mode 4K (3860 x 2160 pixels), un peu trop précis pour des écrans relativement petits et trop exigeant pour les puces graphiques.

En revanche, la fréquence maximale évolue au fil du temps. De 60 Hz, on est progressivement passé à 120 Hz, puis 144 Hz et 165 Hz. Aujourd’hui, la dalle LCD de l’Alienware x16 offre un taux de rafraichissement maximal de 240 Hz. Toutefois, Dell propose deux autres options en termes d’affichage, avec un écran QHD+ supportant un taux de rafraichissement maximal de “seulement” 165 Hz, ou même une dalle LCD limitée à la bonne vieille définition Full HD (1920 x 1080 pixels), mais avec une fréquence extrême de 480 Hz ! Comme il n’est pas certain que la majorité des utilisateurs perçoive la différence entre 240 Hz et 480 Hz, autant privilégier l’affichage QHD+.

Dans tous les cas, pour que la carte graphique et l’écran soient toujours parfaitement synchronisés, ce dernier supporte la technologie G-Sync de Nvidia. Aucun effet de déchirement d’image n’est donc visible.

Comme à notre habitude, nous avons évalué les performances de l’écran à l’aide de notre sonde X-Rite i1Display Pro Plus. Celles-ci a permis d’obtenir les résultats suivants :

• La luminosité maximale de la dalle LCD s’élève à 347 nits. Cette valeur, pas très élevée, s’avère à peine meilleure que celle que nous avions mesurée sur l’Alienware m16 (325 nits). Elle est très inférieure à la luminosité maximale mesurée sur l’écran du Razer Blade 18, que nous avons testé il y a quelques mois. En effet, celle-ci avait atteint 533 nits.
• Le taux de contraste moyen, lui aussi, s’avère médiocre : 1092:1. C’est l’une des plus basses mesures obtenues depuis longtemps. On peut se consoler en constatant que les écrans des PC portables gamer offrent rarement un taux de contraste très supérieur. Ceux de l’Alienware m16 et du Razer Blade 18, par exemple, plafonnaient respectivement à 1248:1 et 1141:1.
• La température moyenne des couleurs, quant à elle, est de 6203 K, ce qui n’est pas très éloigné de la valeur neutre par excellence, de 6500 K.
• Enfin, la fidélité des couleurs est excellente, puisque le Delta E moyen a été mesuré à 1,7. Bon, ce critère n’est pas vraiment capital pour un PC portable gamer. Il est toutefois appréciable de bénéficier de couleurs réalistes lorsqu’on regarde des photos ou des vidéos.

Rappelons que la technologie LCD avec rétro éclairage mini LED, qui a fait ses preuves depuis plusieurs années sur les TV, permettrait d’obtenir un affichage nettement plus lumineux, d’environ 800 nits, ainsi qu’un taux de contraste quasi infini, comme celui des dalles OLED. Mais le prix des configurations atteint des sommets : par exemple, l’Asus ROG Strix Scar 16 que nous avons testé récemment, qui disposait d’un équipement similaire à celui de l’Alienware x16 (16 pouces QHD 240 Hz mini LED, Core i9-13980HX et RTX4080, 32 Go, 1 To) est commercialisé entre 4000 et 5000 €, selon les configurations !

Des performances suffisantes pour jouer dans de bonnes conditions

L’Alienware x16 que nous avons testé embarque un processeur Intel Core i9-13900HK, doté de 6 cœurs à hautes performances et 8 cœurs efficaces, pour un total de 20 threads (la puce Core i7-13700H est également disponible). Le tout est complété par la puce graphique Iris Xe pour la gestion de l’affichage, lorsque l’on ne cherche pas à obtenir des performances 3D très élevées. Dans le cas contraire, c’est la puce graphique Nvidia GeForce RTX 4080 qui prend les commandes.

Le processeur graphique intégré Intel Iris Xe permet à l’Alienware x16 de supporter la technologie Advanced Optimus de Nvidia, qui permet d’optimiser l’autonomie du PC portable, en sélectionnant automatiquement la puce graphique à utiliser pour telle ou telle application (la RTX 4080 ou l’Iris Xe).

Si on compare les caractéristiques du Core i9-13900HK et celles des puces Core i7 et i9 de la série HX, que l’on trouve dans l’Alienware m16, le Razer Blade 18 ou encore l’Asus Zephyrus M16, par exemple, on fait deux principaux constats :

• Tout d’abord, les processeurs Core i7 et i9 HX embarquent un plus grand nombre de cœurs et peuvent donc apporter de plus grandes performances, mais avec le risque de faire grimper la température interne. Il leur faut donc un système de ventilation plus efficace que celui de l’Alienware x16 et un boîtier plus imposant, pour favoriser une meilleure circulation de l’air.
• D’autre part, les puces HX n’intègrent pas le processeur graphique Iris Xe et les configurations qui les exploitent – comme l’Alienware m16 – ne sont donc pas compatibles avec la technologie Advanced Optimus.

	Core i9-13900HK	Core i9-13900HX	Core i7-13700HX
Coeurs P	6 (5,4 MHz Turbo)	8 (5,4 MHz Turbo)	8 (5,0 GHz Turbo)
Coeurs E	8 (4,1 GHz Turbo)	16 (3,9 GHz Turbo)	8 (3,7 GHz Turbo)
Nombre total de threads	20	32	24
iGPU	Iris Xe (96 unités d’exécution)	Intel UHD (32 unités d’exécution)	Intel UHD (32 unités d’exécution)
Puissance	45 W	55 W	55 W
Puissance Turbo maxi	115 W	157 W	157 W

Au final, le Core i9-13900HK s’avère donc mieux adapté au petit châssis de l’Alienware x16 que son grand frère. Certes, ils offre des performances inférieures à celles du Core i9-13900HX, mais sa consommation électrique est moindre, et le PC portable peut donc offrir une meilleure autonomie (en théorie).

D’autre part, en plus des 32 Go de mémoire, l’Alienware x16 offre la possibilité d’embarquer deux SSD, configurés en Raid 0, afin de booster considérablement les performances du système de stockage.

De son côté, la puce graphique Nvidia GeForce RTX 4080 est-elle suffisante pour profiter de l’écran QHD dans les meilleures conditions, c’est-à-dire avec des animations extrêmement fluides ?

Si on passe rapidement sur les performances théoriques, qui sont illustrées par les indices 3D Mark Time Spy Extreme de 8612 et PC Mark de 8002, attardons nous sur les réelles possibilités de la puce graphique en situation, dans différents jeux, dans la définition QHD+ de la dalle, bien sur, et avec les meilleurs réglages graphiques. L’Alienware x16 fonctionnait quant à lui en mode Hautes performances.

Rappelons que ce dernier peut être rapidement activé par une simple combinaison de touches (FN + F1). La ventilation s’emballe alors, pour tenter de refroidir au mieux les composants internes. elle se fait alors entendre, sans toutefois devenir insupportable. Si on joue sans casque, la puissance des haut-parleurs du châssis couvre sans problème le bruit généré par la soufflerie.

Ainsi, le jeu Shadow Of The Tomb Raider (qualité graphique Very High, DLSS Ulta performances) s’avère extrêmement fluide, avec des animations comportant 179 images par seconde en moyenne (en utilisant le benchmark intégré au jeu). Et si on passe en qualité Haute “seulement”, on grimpe à 183 FPS.

Avec le jeu Cyberpunk 2077, les résultats sont également excellents. En effet, en qualité Ultra et en activant l’option DLSS en mode Performances Ultra, le benchmark intégré fait état de 159 images par seconde en moyenne !

Si on bascule en qualité Elevée, avec le DLSS en mode Performances, on approche des limites de l’affichage (240 images par seconde), puisque les animations comportent 191 images par seconde (et 210 images par seconde avec la qualité graphique Moyenne).

En revanche, les animations plafonnent à “seulement” 110 images par seconde, si on active l’option Ray Tracing en mode Ultra…

Avec un jeu qui ne supporte pas le mode DLSS, comme Dirt 5, on atteint 122 images par seconde en moyenne (avec un maximum de 205 images par seconde) en qualité maximale (Ultra), 144 images par seconde en qualité Elevée et 156 images par seconde en qualité Intermédiaire. Enfin, la fluidité maximale (195 images par seconde) est atteinte avec le niveau graphique le moins détaillé.

Une autonomie limitée, comme la plupart des PC gamer

L’Alienware x16 embarque une batterie de 90 Wh. Paradoxalement, cette capacité est (légèrement) supérieure à celle de la batterie de l’Alienware m16 (84 Wh), pourtant plus volumineux.

Nous avons réalisé nos test avec une luminosité d’affichage ajustée à 200 nits (soit environ 74 % de la luminosité maximale du panneau de contrôle de Windows), avec les divers effets RGB désactivés. Le PC portable passe automatiquement en mode Silencieux lorsqu’on débranche le connecteur d’alimentation. Et, grâce au mode Advanced Optimus, seule la puce graphique Iris Xe était sollicitée..

Après avoir lancé le test d’autonomie Modern Office de l’application PC Mark, l’Alienware x16 a fonctionné pendant 6 heures et 1 minute avant que sa batterie ne soit entièrement vidée. Pour une configuration équipée de composants très performants, ce résultat n’est pas étonnant. Il correspond plus ou moins à ce qu’on a obtenu ces derniers mois sur plusieurs autres configurations musclées. Les seuls PC portables gamer qui font vraiment mieux sont ceux dotés d’un GPU moins véloce, comme le Dell XPS 17 (9720) que nous avons testé l’année dernière (8 heures et 5 minutes d’autonomie), ou d’un CPU AMD, à l’instar de l’Asus Zephyrus G14 (GA402), qui est resté en fonctionnement plus de 10 heures.

Même constat en ce qui concerne le streaming vidéo. En effet, un film de 2 heures lu en Wi-Fi sur Netflix a fait baisser le niveau de charge de la batterie de 33 %. On peut donc tabler sur une autonomie totale d’environ 6 heures. Encore une fois, les configurations récentes et équivalentes ne font pas mieux.

Enfin, lorsqu’il s’agit de recharger la batterie de l’Alienware x16, l’adaptateur secteur propriétaire permet de retrouver 27 % de charge après 30 minutes. On constate que c’est exactement comme avec l’Alienware m16, qui est livré avec le même chargeur propriétaire de 330 W et qui dispose d’une batterie de 84 Wh. La batterie est rechargée à hauteur de 52 % au bout d’une heure…