Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

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Samsung Galaxy S9+

  • samsung galaxy s9
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On aime
  • La qualité des photos
  • Le design, toujours aussi impressionnant
  • La bonne puissance de l’appareil
  • L’interface hautement personnalisable
On n’aime pas
  • Le prix élevé au lancement
  • L’autonomie très moyenne
  • L’ouverture à F/1,5, plutôt gadget
Verdict :

Le Galaxy S9+ n’a rien d’un mauvais bougre. Il s’agit d’un excellent smartphone, particulièrement efficace pour la photo et avec un design de très bonne qualité. Cependant, il laisse comme un gout de déjà-vu, trop proche du Galaxy S8+ de l’an dernier, avec un tarif particulièrement élevé. Reste que pour la photo, notamment en faible luminosité le nouveau smartphone de Samsung joue dans la cour des – très – grand.

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5 raisons de craquer (ou pas) pour le Samsung Galaxy S9+

 C’est peu dire que le nouveau Galaxy S9 ressemble au S8 dévoilé en mars de l’an dernier. On retrouve tous les marqueurs de la gamme S de Samsung avec un écran 18,5:9 au format borderless, des angles arrondis et une bonne prise en main. L’an dernier, le design du Galaxy S8 nous avait clairement bluffés de par cet écran omniprésent en façade. Cette année cependant, la plupart des constructeurs proposent des smartphones à écran 18:9 et il va falloir faire à Samsung plus qu’une simple mise à jour pour continuer à garder une longueur d’avance.

Oui pour son excellent appareil photo

Image 2 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

Outre les questions de format et de batterie, c’est bel et bien dans l’appareil photo que réside le principal apport du Galaxy S9+ par rapport à la version classique. Pour la première fois sur la gamme Galaxy S, Samsung a en effet intégré un double capteur photo arrière, capable d’effectuer des zoom x2 en équivalent 52 mm avec une ouverture de f/2,4. Par ailleurs, l’appareil photo principal du smartphone, équivalent 26 mm, permet de moduler l’ouverture focale. Automatiquement, une bague passe sur le capteur pour passer de f/2,4 à une ouverture record sur un smartphone de f/1,5. Si cette plus grande ouverture est automatique en dessous de 100 lumens, elle peut également être modifiée manuellement grâce à au mode pro.

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Lorsqu’on lance l’application photo du Galaxy S9+, on se retrouve face à l’inconnu. Samsung a complètement refondu son interface, désormais bien plus proche de ce que l’on trouve sur iPhone. Pour passer d’un mode à un autre, il suffit ainsi de glisser son doigt vers la gauche ou la droite de l’écran. On retrouve bien évidemment un mode automatique et un mode pro, mais également un mode « alimentation », plus économe en énergie, un mode panorama, un mode mise au point direct, pour les portraits avec flou d’arrière-plan, un mode super-ralenti pour capturer des séquences à 960 images par seconde en 720p, un mode emoji en réalité augmentée et un mode hyperlapse.

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Dans un premier temps, nous avons souhaité comparer concrètement l’apport de l’ouverture à f/1,5 sur un aussi petit capteur, afin de vérifier s’il s’agissait d’une nouveauté intéressante et utile. Pour ce faire, nous sommes passés en mode pro, qui permet de modifier l’ouverture manuellement et d’adapter la sensibilité et la vitesse d’obturation pour compenser. De nuit, nous avons pris deux clichés consécutifs d’une rue de Paris à f/1,5 et à f/2,4.

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Pour le premier cliché, à une ouverture de f/1,5 (cliquer ici pour zoomer), le Galaxy S9 a choisi de fixer la sensibilité à 500 ISO et la vitesse à 1/200 de seconde. Pour le second (cliquer ici pour zoomer), à f/2,4, la sensibilité est la même et l’exposition est compensé par une vitesse plus lente de 1/100 de seconde. Dans les deux cas cependant, difficile de voir les différences concrètes. En zoomant, on constate que les visages des passants sont très légèrement plus nets sur le cliché à f/1,5 mais, à l’usage, difficile d’être convaincu par cette plus grosse ouverture.

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En fait, c’est véritablement grâce à son traitement logiciel, et non pas son ouverture mécanique, que le Galaxy S9+ parvient à être particulièrement performant en faible luminosité, même de nuit. En fait, l’appareil va capturer plusieurs clichés au même moment afin d’analyser les différentes images et de filtrer le bruit numérique. Il en résulte des clichés particulièrement efficaces, même en pleine nuit comme on peut le voir ci-dessus. Les clichés, s’ils sont flous notamment dans les détails, permettent tout de même de distinguer les formes, y compris les branches de l’arbre et les nuages dans le ciel, quand bien même ils étaient à peine visibles à l’œil nu. Rarement on n’aura vu smartphone aussi efficace que le Galaxy S9+ en faible luminosité.

Pour les couleurs et les détails, nous avons capturé le même objet avec deux smartphones, le S9+ (cliquer pour zoomer) et le Galaxy S8 (cliquer pour zoomer) de l’an dernier. Le traitement des couleurs est aussi performant pour le nouveau modèle que sur le précédent, mais on remarquera globalement une meilleure gestion des détails, sur la structure de l’impression 3D avec le S9+.

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Par ailleurs, nous avons souhaité évaluer le double capteur photo du Galaxy S9+, élément qui le distingue clairement du Galaxy S9. Il s’agit, comme sur le Note 8, d’un double capteur permettant d’effectuer des zooms x2 à équivalent 52 mm. On notera cependant que sur ce second objectif, l’ouverture focale est fixe, à f/2,4. Le zoom optique s’avère plutôt efficace, offrant une qualité d’image similaire au grand angle en plein jour.

Image 8 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

Enfin, le mode « mise au point direct », qui permet le mode portrait, va lui aussi utiliser l’objectif x2 avec une distance équivalent 52 mm. On notera qu’il est possible de régler a priori le flou d’arrière-plan, mais également a posteriori dans la galerie. L’effet Bokeh a un rendu plutôt naturel, à l’instar de ce que l’on pouvait trouver sur le Galaxy Note 8. Dommage cependant qu’il faille nécessairement utiliser le téléobjectif pour utiliser le mode portrait. Dommage également que ce mode soit aussi peu convaincant en mode selfie. Il est en effet utilisable, via le mode « mise au point selfie », mais est loin d’être aussi performant que les solutions proposées par Huawei et Honor, même avec un seul capteur en façade.

Image 9 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

A gauche, la caméra arrière, à droite la caméra de selfie

Oui pour son design toujours sans égal

L’an dernier, Samsung a frappé un très grand coup avec ses Galaxy S8 et S8+. Il s’agissait alors de smartphones avec des rebords particulièrement fins, en raison notamment de l’écran incurvé des smartphones. Cette année, le Galaxy S9+ reprend la même recette, mais va encore plus loin.

>>> Retrouvez le test du Samsung Galaxy S8

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Au premier coup d’œil, rien ne distingue véritablement le Galaxy S9+ du S8+. Samsung s’est contenté de reprendre la recette du succès de 2017 avec un écran qui occupe quasiment toute la surface de l’appareil, mais en allant légèrement plus loin que l’an dernier. Ainsi, si l’écran du S8+ recouvrait 84% de la surface de l’appareil, ce taux monte à 84,2% sur le S9+. Une légère différence qui s’explique par un gabarit légèrement plus compact. Le S9+ est légèrement moins long que le S8+ pour un écran identique, signe que Samsung a encore réduit les bordures. En contrepartie, il est cependant plus épais, plus large et plus lourd de 16 grammes.

À l’usage cependant, le Samsung Galaxy S9+ est plutôt confortable à prendre en main, y compris dans un usage à une seule main. On appréciera grandement l’emplacement du lecteur d’empreintes digitales qui, non content d’être désormais plus accessible pour les doigts, situé plus bas sur le dos du smartphone, ne se confond également plus avec les objectifs photo à l’arrière.

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L’écran est toujours d’aussi bonne qualité, avec des contrastes infinis grâce à sa technologie AMOLED, un excellent angle de vision et une très luminosité, y compris en extérieur. En termes de colorimétrie, la balance des blancs semble parfaitement respectée, l’affichage ne tirant ni vers le bleu ni vers le jaune. On notera cependant qu’il est possible d’affiner la colorimétrie à son goût dans les paramètres d’affichage. Concernant le format et la définition de la dalle, celle-ci est semblable en tout point à celle du Galaxy S8+, soit une diagonale de 6,2 pouces et une définition de 1440 pixels par 2960, soit une résolution de 529 pixels par pouce, largement suffisante pour ne distinguer aucun pixel.

Image 12 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

On regrettera cependant le choix, propre à Samsung, d’avoir intégré les boutons de contrôle du volume sur la tranche gauche du smartphone. Un choix qui ne s’avère par des plus pratiques pour modifier le volume pour les droitiers alors qu’on peut le régler simplement avec le pouce lorsqu’ils sont placés sur la tranche droite. Toujours en termes de disposition des touches, on ne peut encore que regretter le choix de Samsung d’avoir conservé un bouton physique pour Bixby, situé sous le volume. Celui-ci n’est toujours pas des plus utiles puisque Bixby Voice ne comprend toujours pas le français et que le bouton ne peut pas être alloué à une autre application, Samsung bloquant le remapping.

Non pour son autonomie moyenne

Outre le double capteur photo et la taille de l’écran, l’autre différence entre les Galaxy S9 et S9+ réside dans sa batterie et la mémoire vive. Si le Samsung Galaxy S9 est doté de 4 Go de RAM, celle du S9+ monte à 6 Go. Il en va de même pour la batterie, de 3000 mAh pour le petit format, contre 3200 mAh pour le grand modèle.

Image 13 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

Bien évidemment, à l’usage les performances du Galaxy S9+ sont particulièrement optimisées et on ne rencontre aucun ralentissement au quotidien. Il s’agit d’un smartphone très haut de gamme, doté d’une puce Exynos 9810 maison de chez Samsung. Les deux nouveaux smartphones du constructeur sont les premiers à bénéficier de ce nouveau processeur.

Afin d’évaluer ses performances, notamment par rapport à la concurrence, nous avons donc soumis le Galaxy S9+ à deux tests de benchmarks, Geekbench 4 et Slingshot Extreme sur 3DMark. Si le premier va permettre de mesurer la puissance de calcul brute du smartphone, le second va lui s’attarder sur les performances graphiques, particulièrement utiles pour les jeux 3D. Dans les deux cas, plus le score est élevé, plus le smartphone est performant.


Geekbench 4
3DMark
Samsung Galaxy S9+ (Exynos 9810)8864
3284
Samsung Galaxy Note 8 (Exynos 8895)
6469
2624
iPhone X (A11)
10357
2682
OnePlus 5T (Snapdragon 835)
6739
3576
Huawei Mate 10 Pro (Kirin 970)
6776
2929

On le voit, le Galaxy S9+ s’avère exemplaire sur Geekbench 4 en multicore avec un score bien au-dessus du OnePlus 5T (Snapdragon 835) ou du Huawei Mate 10 Pro (Kirin 970). Le nouveau processeur Exynos 9810 est cependant largement dépassé par la puce A11 Bionic de l’iPhone X. Il faut dire que celle-ci fait désormais référence pour les smartphones, dépassant même les performances de certains ordinateurs.

>>> Retrouvez toutes les caractéristiques du Samsung Galaxy S9

Pour la gestion des performances graphiques, le Galaxy S9+ est tout aussi impressionnant. Cependant, on se serait attendu à une montée en puissance plus importante par rapport à la puce Exynos 8895 du Galaxy Note 8. Dommage également que le smartphone fasse moins bien que le Snapdragon 835, une puce qui a désormais un an d’ancienneté. Dans tous les cas, on notera qu’à l’usage, le Galaxy S9+ reste particulièrement efficace et que ses performances globales restent parfaitement optimisées.

Image 14 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

C’est finalement du côté de l’autonomie que le bât blesse. Avec une batterie plus grosse que pour le Galaxy S9 et un écran Amoled, on se serait attendu à une grande longévité pour le smartphone de Samsung. D’autant plus que le précédent smartphone haut de gamme du constructeur coréen, le Galaxy Note 8, était un modèle du genre.

Finalement, en utilisant le smartphone comme un appareil quotidien, avec des périodes de veilles, d’autres plus intenses de consultation des réseaux sociaux ou de jeu, l’appareil a tenu 28 heures. Il est à noter que 15 % de la consommation de batterie était causée par l’écran qui semble donc particulièrement énergivore, même en fixant la luminosité à mi-hauteur. De la part d’une phablette, on aurait espéré deux jours complets d’autonomie.

Oui pour son système hautement personnalisable

C’est décidément l’un des maitres-mots des nouveaux S9 et S9+. Ils reprennent en grande partie ce qui a fait le succès de leurs prédécesseurs. Fort logiquement, les nouveaux smartphones de Samsung reprennent la surcouche Samsung Experience. Une fois le smartphone allumé, on se retrouve donc avec une interface hautement personnalisable, qu’il s’agisse de l’ordre des touches de navigation, avec la possibilité d’inverser l’emplacement des boutons retour et multitâche, de la présence d’un tiroir d’applications ou des très nombreuses options dans le menu des paramètres.

>>> Samsung, Sony, Huawei, LG… qui a la meilleure surcouche Android ?

Image 15 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

Par ailleurs, le Galaxy S9+ n’échappe pas à quelques nouveautés bien senties. On notera ainsi que Samsung a largement revu la copie pour son déverrouillage d’écran. Outre le lecteur d’empreintes digitales, le constructeur met également bien en avant le mode d’analyse intelligente. Celui-ci combine à la fois la reconnaissance faciale et le scanner d’iris afin d’assurer une bonne sécurité. À l’usage, l’expérience est très pratique et le déverrouillage plutôt rapide avec une seconde entre l’appui du bouton de mise sous tension et le déverrouillage total du smartphone.

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Parmi les autres fonctions ajoutées par Samsung sur son S9+, on peut noter les AR Emojis. Il s’agit en fait de gifs mettant en scène un avatar censé vous ressembler dans plusieurs situations. Si beaucoup les ont considérés lors de l’annonce de Samsung comme la réponse du constructeur coréen au animojis d’Apple, force est de constater qu’ils sont utiles à l’usage. On peut y voir des gifs de réaction conçus à son image ou des stickers à utiliser dans n’importe quelle application de messagerie. Même si le design des avatars laisse à désirer, on se prend finalement au jeu.

Enfin, on notera que le Galaxy S9 Plus tourne sous la version 8.0 d’Android. Même s’il ne s’agit pas d’Oreo 8.1, on peut y retrouver certaines des fonctionnalités intéressantes du système de Google comme le menu contextuel lorsque l’on appuie longuement sur une icône d’application. Dernier point à souligner, le mode always on de l’écran qui reste allumé en permanence, grâce à la technologie Amoled, tout en permettant certaines interactions comme le contrôle de la musique.

Non parce que les ajouts par rapport au S8+ sont mineurs

Contrairement aux iPhone, les smartphones de Samsung ont tendance à voir leur prix chuter très rapidement après leur sortie. Un an après l’arrivée du Galaxy S8 Plus, celui-ci est désormais disponible à 650 euros, tandis que le Galaxy S8 en version classique est dénichable à 500 euros. Le prix des deux modèles a donc quasiment été divisé par deux, non pas en un an, mais en quelques mois, ces baisses de prix étant constatées généralement autour de six mois après la sortie des smartphones hauts de gamme de Samsung. Dès lors, compte tenu des fiches techniques particulièrement proches entre le S9+ et son prédécesseur, le S8+, la question se pose : faut-il se pencher vers le S9+ plutôt que vers le modèle de l’an dernier ?

Image 17 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

Du côté de la puissance, on l’a vu, le S9+ est particulièrement efficace, mais reste distancé par le Snapdragon 835 pour les jeux. La nouvelle puce Exynos 9810 n’apporte donc rien de révolutionnaire. Pour la mémoire, Samsung a rajouté 2 Go, portant le total à 6 Go, sans que là non plus la différence ne se fasse ressentir à l’usage. Du côté du design, à l’exception du lecteur d’empreintes mieux situé à l’arrière et des bordures un poil plus fines en haut et en bas, c’est du pareil au même.

Finalement, le seul point sur lequel le Galaxy S9+ peut apporter un véritable changement, c’est du côté de la photo. Les performances en faible luminosité notamment sont bluffantes, même par rapport au Galaxy S8+ de l’an dernier, grâce à l’annulation de bruit numérique. Si l’ouverture focale modulable semble quant à elle un point intéressant, elle n’apporte que peu à l’usage sur un aussi petit capteur. Cependant, le double capteur photo est lui aussi le bienvenu sur un appareil de la gamme Galaxy S de Samsung.

Image 18 : Test Samsung Galaxy S9+ : on a testé le nouveau photophone de référence

Le Galaxy Note 8 est lui aussi équipé d’un double capteur photo

En fait, tout dépend de votre usage. Si vous avez besoin de changer rapidement de smartphone, orientez-vous plutôt vers un Galaxy S8 ou un Note 8, de même format, lui aussi avec double capteur photo et affiché désormais à 750 euros. Si vous souhaitez absolument le Galaxy S9+ pour sa gestion des photos en basse lumière, attendez quelques mois.

Dans tous les cas, le smartphone est tout particulièrement convaincant, même si on aurait souhaité que le géant coréen se repose moins sur ses lauriers.

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